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Invité

I know What you Are

• { One True Identity

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Nom : Isthmar
Prénom : Térence
Surnoms : Terry
Sexe : P’tit mâle
Age : 18 ans…si si.
Date de naissance : 20 Janvier 2162
Statut : Etudiant. /Travailleur/.
Classe Sociale : Pauvre, mais jamais assez il parait.

Questionnaire.

L'amour? Oh oui ! J’ai déjà entendu parler de cette légende.
L'amitié? Celui qui n’est plus ton ami ne l’a jamais été. C’est étonnant de pouvoir constater le nombre de personne qui finissent seules.
La confiance? C’est quand t’es sur que ton pote te passera la corde autour du cou quand t’en auras marre de vivre. Dans ce bas monde c’est vachement important quand même. Pourquoi ça commence par ‘con’ et ça finit comme ‘méfiance’ ? Faut croire que je dois bien être niais de pouvoir faire confiance. Ou être obligé après tout.
La musique? Une secte. Muse est mon gourou.
Le surnaturel? –Revenir à la première question. Ouch t’es croyant ? Moi j’aimerai bien que des soucoupes volantes se posent sur moi et m’embarque pour une exécution digne de ce nom devant des milliers d’E.T, en fait, c’est mon plus grand rêve. Je suis un fantôme tu le savais pas ? Regarde le boulet qui me retient prisonnier.
La chirurgie esthétique? Essentielle ! Sinon comment nous ferions nous aimer ?
L'actualité? Gn ?
Les Oubliés? Hey, mon nom de famille !!!
La Gommose? J’aime pas la salade.
Chanson favorite? Celle qu’on me chantait quand j’étais petite fille. C'est-à-dire qu’on ne m’en chantait pas mais bref… Phil Collins –Another day in Paradise.
Personne admirée? On m’a dit de m’admirer pour ce que je suis, je n’y crois pas, alors j’ai essayé d’admirer mon contraire. Comme ça je paraîtrais modeste, le problème c’est que je ne suis rien. Alors je dois admirer le tout ? C'est-à-dire le monde ? Et si ce n’était qu’un cercle infernal pour nous faire croire à une nouvelle théorie de l’évolution ? Sinon je hais le père Noël, et aussi j’adore le géant vert. … Lelio. Point final.
Mûgen Corporation? Gn ?
La Politique du gouvernement? Gn ? o/
La théorie des deux mondes? ...c’est cool. Non sérieusement, enfin un truc auquel je crois… Moi je sais qu’il existe un monde antérieur, où chacun peut s’échapper quand il a cette putain d’envie d’aller tout foutre en l’air. Si cette théorie est vraie…Je passerai ma vie à dormir dans mon lit.
Un mot a quelqu'un en particulier? Pourquoi m’as-tu abandonné ?
Les médias? Gn ? Je ne suis pas surréaliste, je suis protestant.
Vin ou bière ? Jamais l’un sans l’autre.
Lieu favori ? Dans les bras de Lelio. Ou avec Samy.

Fallen Angel on the Earth

« Quel mignon petit garçon. »

La jeune femme se jeta sur cette frêle silhouette qu’elle avait remarquée de loin. Elle aurait pu appartenir à celle d’un bel homme viril, après tout on lui avait bien dit que Térence avait 18 ans. Mais plus elle s’approchait, plus elle s’apercevait que cette ombre rapetissait, finalement elle arriva à sa hauteur pour ne découvrir qu’un petit garçon lui arrivant aux épaules. Ce dernier ne la regardait pas. Elle l’observa de haut, son visage masqué par le haut de son crâne recouvert d’une masse de cheveux bruns, fins. Elle se demanda si les reflets rougeâtres qu’on pouvait y discerner seraient encore plus intensifiés par la lumière de soleil… si ce petit bonhomme était capable de sortir dehors. Il paraissait si maigre, si chétif, elle n’osa pas imaginer le corps de l’enfant sous ses vêtements, elle pouvait le deviner imberbe, fin, osseux... Une simple chemise entrouverte d’un bleu délavé, grisâtre, dépassant du pantalon. Il portait également une veste qui élargissait quelques peu ses épaules encore si peu développées, pour finir elle descendit ses yeux de chats, qui inspectaient chaque détail du physique de ce garçon. Ils se posèrent sur le jean, aussi banal soit il, quoiqu’un peu troué, gris, noir, ou marine cela n’aurait pas changé. Quelque chose brilla, cette ceinture cloutée devait le faire souffrir, on lui avait dit que c’était les rebelles qui portaient ce genre de chose. Comme l’espèce de médaillon qu’il avait autour du cou. Ce garçon voulait il se donner un genre ? Etait ce juste parce qu’il avait 18 ans ? La jeune femme pensa qu’il devait avoir un problème de croissance, vu sa maigreur et sa taille, il ne devait pas faire plus de 40 kilos, ou alors on lui avait mentit. Ce petit il ne pouvait pas avoir plus de 14 ans, c’était dit. Autrement une telle carrure était impossible.

Ses pensées furent interrompues quand elle leva enfin le menton du dénommé Térence vers le ciel, pour voir au moins à quoi il ressemblait. Les mèches châtain se rejetèrent en arrière, quelques unes s’égarant au hasard sur son front bombé, pâle. Aussi pâle que le reste de son visage, qui n’était finalement pas si creusé et maigrelet que ça. Il avait gardé son air de poupon propre à l’enfance, ses joues légèrement roses encore rondes la firent craquer. Son regard obsédant parcouru cette face enfantine, il fit une pause pour s’arrêter sur sa bouche, il ne souriait pas, ses lèvres entrouvertes, rouges, comme si une femme venait de l’embrasser semblaient murées dans le silence depuis longtemps, murées à jamais sur sa peau de porcelaine. S’il avait tourné la tête elle aurait pu voir que son nez était légèrement retroussé, fin, presque invisible. Mais il garda ses yeux rivés sur elle. Oh, oui, elle s’arrêta sur ses yeux pour essayer d’y discerner un quelconque sentiment, ils étaient froids, grands, ronds, mis clos, une lueur brillait au milieu des dizaines de petites pépites noires qui tachetaient un océan teinté émeraude. Elle resta quelques secondes sur ces yeux de reptiles qui semblaient…comment dire ? La jeune femme se sentit mal à l’aise. Cet enfant la regardait d’un air glacé et glacial, ses pupilles ébène ne bougeait en aucun cas, et il ne cilla pas. Comme s’il essayait de lire en elle, comme s’il pensait tout savoir sur tout, comme s’il pensait avoir tout compris sur le monde et avoir conclu qu’il n’était pas intéressant. Il la dévisageait comme s’il regardait un objet quelconque trainant sur le sol.

Une goutte coula le long de son front quand elle osa un sourire au magnifique petit visage de serpent qui la mettait définitivement dans un état second. Le jeune garçon cligna soudainement des yeux, ceux-ci s’arrondirent, s’élargissant sur la surface de son visage angélique. Il regarda dans tous les sens, haussa ses sourcils aussi fins qu’un bout de ficelle et fit à la jeune femme un éclatant sourire. Elle pouvait voir ses fossettes, ses dents aussi blanches que du diamant, elle en conclut qu’il devait être heureux. Elle ouvrit sa bouche, il fallait qu’elle déclare quelque chose. Térence porta un de ses longs doigts effilés à ses lèvres, qu’il embrassa, en murmurant un « chut » à peine inaudible, d’une voix qu’elle devinait claire et nette, qui n’avait pas muée.

L’enfant ferma les yeux, les rouvrit, perdant au passage son regard éclairé qu’il lui avait généreusement montré quelques secondes auparavant, ses fins sourcils se froncèrent quelque peu, son sourire s’effaça, il tourna le dos, pour s’éloigner tranquillement, laissant la jeune femme emmurée dans le silence le plus total.

« C’était Terry. »

Elle tourna la tête vers ses amies, qui s’étaient approchées pour contempler la scène. Elle poussa un long soupir, se retourna, et regarda la silhouette gracile, efféminée, partir au loin, comme si Térence avait besoin de la solitude pour retrouver son visage de séraphin.

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Devil Child in the Sky

La jeune femme lança son regard de biche désespéré à ses amies, l’esprit un peu retourné par cette curieuse rencontre. Elle se demandait ce que pouvait bien ressentir Terry pour être aussi mystérieux, ou du moins se cacher ainsi à la première rencontre. On lui avait bien dit que cet ‘enfant’ était de nature froide envers les gens qu’il ne connaissait pas. Du moins avec les gens qu’il n’avait pas envie de connaître. La personne qui le lui avait dit ça devait bien s’y connaître car, pour faire parler Térence, pour lui demander son avis il fallait prendre son courage à deux mains au risque de se prendre des répliques cinglantes en pleine poire. Un petit rebelle, alors ? On l’avait bien déjà vu lancer des regards paraissant méprisants, ou faire l’insolent. Oui, insolent. Insolent petit rebelle. Etait-ce sa condition qui le rendait ainsi puéril ? Etait ce le monde dans lequel il vivait ? Etait-ce une crise d’adolescence ? D’ailleurs en parlant d’adolescence, ce garçon au physique de gamin de pas plus de 14 ans n’était il pas censé être plus mature ? Après tout il avait 18 ans non ? Elle se demanda comment il était devenu comme ça.

Si un psychiatre était là, (mais comme elle n’avait pas envie de gaspiller son fric pour se payer un vieux barbu qui lui raconterait toutes les petites misères d’une tierce, je vais le faire à sa place), il dirait que Terry avait contracté le syndrome de Peter Pan avant l’heure normale. Il aurait dit que ce garçon était pessimiste, très pessimiste, que le monde qu’il voyait lui paraissait 23h/24 fade, dénué de tout intérêt, il aurait dit que Terry était triste. Le diagnostique continuerait ainsi : un choc mental très violent lui aurait mit une idée fixe dans la tête comme quoi l’âge adulte serait la pire chose qu’il pourrait lui arriver, peut être parce qu’un adulte lui aurait mentit, lui aurait fait subir des souffrances épouvantables, lui aurait imposé la vérité sans qu’il ne puisse réfuter aucun sentiment, que sa condition n’arrangeait rien : la prostitution n’était elle pas un moyen pour les ‘adultes’ et les jeunes adolescents de gagner de l’argent ? Pour repousser toutes ces formes de ‘maturité’ Térence se serait ainsi mis en tête de ne jamais grandir, d’une manière si forte que son corps lui aurait obéit sans broncher. Quand on veut, on peut, finalement cette citation marchait. Par la force de sa volonté de ne pas accéder à la maturité, la croissance de ce garçon se serait stoppée, ou continuerait d’évoluer de façon anormalement lente. Le psychiatre n’avait jamais vu ça en tout cas. On pouvait bien comprendre que chaque adolescent regrette un moment ou à un autre cette vie où tout allait bien, où il était un petit dieu, où le monde ne lui apparaissait pas si noir : l’enfance. Ce garçon aurait donc cette idée de rester pour toujours dans l’enfance.

C’est bien d’avoir constaté ça, mais si le psy avait été plus loin (et surtout si on avait daigné lui verser une bourse, mais bon, on va dire que c’est un gentil psy.) il aurait dit que ce syndrome était tout sauf sain. Car si Terry a gardé son corps encore pur, à peine développé, son esprit quand à lui avait continué à murir. Pour cause, il pense comme un adulte. Comme un adulte intelligent qui voit très bien comment le monde est fait. Mais qui refuse de le voir, et qui se cache les yeux pour ne plus avoir à en parler. Il s’est enfermé dans ce monde imaginaire de contes de fées, et fait semblant de réfléchir comme un gosse. De réagir comme un gosse. De se comporter comme un gosse. Pour que la pièce de théâtre soit parfaite. Pour que tout le monde croit à son mensonge. Le problème est que notre petit Peter Pan est complètement dépassé par son syndrome. Il ne contrôle pas ce paradoxe qui subsiste en lui, il est partagé, il refoule ses pensées, arrête sa croisse par la force des choses, pour essayer de rester dans le monde de l’enfance. Tout ça l’obsède, à tel point qu’à un moment tout finit par exploser, et à se transformer en crises hystériques.

Pourtant son stratagème semble fonctionner aux yeux de tous…ou presque. Pour les gens qui le croisent une fois dans leur vie, Térence reste un enfant, extraverti, souriant, plutôt gentil, même si ce n’est pas toujours ça. Je m’explique ? Il essaie d’être chaleureux, avec les gens qui le méritent selon lui. Il a toujours ce petit côté déjanté, complètement fou ou inconscient, vu qu’un enfant est censé être niais, il joue les ignorants, il joue l’indifférent. Ce n’est pas qu’il est hypocrite, c’est que cet état d’esprit est instinctif, qu’il ne peut pas s’en défaire, que Terry est comme ça naturellement et qu’à chaque fois il se voit de haut, d’un regard adulte, ou adolescent. Ce n’est pas triste, il réussit à être un minimum heureux ainsi. Même si son corps a de plus en plus de mal à supporter cet emprisonnement qu’il s’impose à lui-même. Alors il passe son temps, à rêvasser, le regard pointé vers le ciel, déduisant des théories incohérentes, inutiles. Par exemple, d’une poubelle vide il arrivera à la conclusion que les éboueurs, donc les oubliés sont pris pour de la merde et qu’un grand complot se joue contre eux.

Mais comme je l’ai dit (moi le psy incapable) il reste un gamin puéril, adorable, gentil, niais, quoique cynique, et silencieux par moment. Comme s’il ne voulait que personne ne l’approche. Il y a des exceptions mais elles se font rares par ses temps durs.

Mais assez parlé de ça, on va déprimer sinon. Parlons…par exemple…de euh, son métier voilà ! Oui, même s’il est un gamin, il ne va pas profiter de son physique d’enfant pour jouer au glandeur. Bien sûr Térence essaie d’aller à l’université, presque tout l’argent qu’il gagne il le met là dedans, tout simplement parce qu’il n’a pas envie de rester pauvre toute sa vie, qu’il sait que pour réussir, il faut savoir mouiller son front. Comme Térence a des dispositions pour la mécanique il travaille comme petit mécanicien à qui le voudra bien, parfois gratuitement, si les personnes qui ont besoin de service sont trop pauvres, un génie de la mécanique, de l’informatique, voilà ce qu’il est. Les seules choses précieuses qu’il possède sont : Son ordinateur, des outils étranges, et Lelio. Autant dire qu’il vit entouré de machines. Un pirate, voilà ce qu’il est. Et c’est facile pour lui de créer des virus, ou des espions informatiques. Il n’est d’ailleurs pas très honnête de ce point de vue là, puisqu’il lutte contre le gouvernement, ce château d’immondices. Mais bon, on va pas dire que Térence pourra tout régler tout seul, ça serait bien exagéré, et de toute façon c’est pas vrai, alors… Mais bon, c’est certainement la chose dans laquelle il est le plus doué, la robotique, l’informatique, et Dieu sait à quel point il en a besoin pour s’en sortir. Tout l’argent qu’il gagne en travaillant lui sert à s’acheter des puces, à financer ses études, à se créer un réseau, et il l’utilisera à son compte. Ou pour celui des oubliés.

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Invité

Fairy Tale

Un petit garçon avait enfin retrouvé ce qu’il cherchait. Accroupi sur le sol, ou presque plongé dans cette immense malle qui aurait pu contenir plusieurs personnes. Il y avait tant d’objets si étranges, mais qui ne lui étaient pas inconnus, oh non, c’étaient des reliques d’une ancienne vie : l’enfance. Ce vieux bout de papier, une lettre qu’un ami perdu de vue depuis longtemps lui avait sans doute écrite. Et là, un livre sur le Japon, tout en image. Combien de fois l’avait il lu celui là ? Un piteux lapin en peluche rongé par les mites et par le temps. A vrai dire, cette malle était d’un désordre bien plus qu’impressionnant. Une clef à molette rouillée, des écrits divers, des vêtements d’enfant, des photos…C’était entrange, cette malle semblait dater d’il y a plus de deux siècles s’il n’y avait pas les divers objets électroniques cassés qui débordaient ça et là. Même des capsules repas…un peu périmée surement. Térence poussa une espèce de télescope rétractable, un ordinateur bousillé pour plonger sa main dans l’inconnu, j’entends le fond de la grosse valise. Ses doigts si fins se resserrèrent sur un paquet de feuilles froissées, oui. Quand on est pauvre on utilise encore le papier. Les yeux de l’enfant présumé s’agrandirent quand il retrouva les pensées de son ‘enfance’ : son journal intime. Quelle stupidité. Ecrire un journal, et puis quoi encore ? Il pensait encore que quelqu’un s’y intéresserait ? Non. Terry baissa les yeux. Ce journal il l’avait écrit pour lui et pour personne d’autre après tout. Pour ne pas oublier qui il était. Le petit oublié s’assit contre le mal, défait le nœud qui maintient les pages prisonnières, il y en a trop. Elles s’envolent. Comme des feuilles en automne. Elles tombent sur le sol. Terry les regarde voltiger dans les airs, telles des oiseaux qui chanterait le champ du matin, qu’on pourrait encore entendre malgré la pollution sonore. Il s’accroupit, fait demi-tour, et se jette en arrière pour s’allonger sur le matelas de papier qui se forme au fur et à mesure que cette pluie sèche tombe sur son visage. Il prend la première page, qui est restée accrochée au support, et glisse ses yeux et son cœur entre les mots calligraphiés.

25 Décembre 2170
Cher Journal.

Comme je suis content, j’ai eu un cadeau de la part de Mr Fabien. Je ne me souviens avoir reçu beaucoup de cadeaux à Noël, ni les autres jours d’ailleurs. Je crois que je vais te garder précieusement. J’ai passé la soirée avec ma mère. Puis je suis allé chez Mr Fabien. Tu veux savoir pourquoi ? Parce qu’avec l’argent que j’ai gagné je lui ai acheté un bon pour se payer un mini droïde qui pourrait l’aider dans les taches ménagères. Parce que tu sais Maman n’a jamais le temps de s’en occuper qu’elle dit, elle dit qu’elle est fatiguée quand elle rentre à la maison, qu’elle n’a pas le temps. Je comprends, je crois. Les adultes ont apparemment beaucoup de choses à faire en dehors. Elle revient souvent avec des hommes mais bon. Elle revient aussi souvent avec de l’alcool. Quand elle n’en a pas elle est énervée, quand elle n’en a pas elle me dit d’aller en acheter, quand les commerçants refusent de m’en vendre, ce qui arrive la plupart du temps elle cherche à me frapper, elle me cri des mots douloureux, elle me crie que je ne suis pas son fils et qu’un jour elle me crèvera, et je passe la nuit dehors. C’est ce qui s’est passé. Elle m’a dit qu’elle voulait des bijoux. Pour attirer les hommes. Que je n’avais rien compris, que j’étais un imbécile. Alors comme d’habitude je suis allé chez Mr Fabien. Si tu le connaissais, ah….Bah je vais pouvoir t’en parler. C’est un homme d’une soixantaine d’années. Il est un peu comme un grand père pour moi. Ça tombe bien je n’en ai pas. Maman refuse de me dire quoique que ça soit sur Papa, de toute façon je ne le connaitrai sans doute jamais. Quand à ses parents à elle, on dit qu’elle a voulu les quitter pour vivre sa vie. C’est fini de ce côté-là. Maman est la seule famille qu’il me reste, c’est dur tu sais, son état empire au fil des années, si je n’avais pas Mr Fabien pour m’expliquer tout ça, ça serait sans doute très dur à vivre. Mais heureusement lui il est là. La première fois qu’on s’est rencontrés je pleurais car je ne savais pas pourquoi Maman m’avait laissé tout seul dans la rue. Depuis il me prend sous son aile. Et il est plutôt gentil, même s’il arrive qu’il soit énervé quand je pleure. A ces moments là il me dit de me ressaisir, il doit surement avoir raison. Maman devrait faire pareil, se ressaisir. Mr Fabien est mécanicien. Il m’a engagé, et ce petit travail me rapporte de l’argent. Ça fait longtemps que c’est comme ça, je lui en suis très reconnaissant, il m’a vraiment appris énormément de choses. Je vais à l’école, et lui il complète mon éducation comme il dit. J’aime bien l’écouter, j’aime bien apprendre, j’aime bien toucher aux machines, aux ordinateurs qu’il a dans son atelier, il connaît vraiment beaucoup de choses, il me montre tant de choses. La vie est plus légère avec lui. Il dit que j’ai du talent, mais bon je ne le crois qu’à moitié vu que de l’autre côté Maman dit que je suis imbécile finit. Mr Fabien me parle aussi du monde, de son évolution, des Humanoïdes, du gouvernement. On a accès à tout ça via les appareils électroniques, même si il dit que notre coin est un peu reculé. J’aimerai bien mettre tout ce que j’apprends dans ce cahier, les plans à retenir, les schémas des machines, vraiment, ça sera un journal-mode d’emploi mécanique.

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And Time Goes By

7 Septembre 2175
Cher Journal

Je crois bien que tu es mon dernier ami. Et tu sais pourquoi ? Oui tu sais. Je te résume la situation, bien que tu aies eu droit à toutes les merdes qui me sont arrivées bien avant. Juste pour faire un point sur ma vie. Premièrement ma mère a bien fini par péter les plombs, j’ai été bien naïf de croire que le médecin qu’elle voyait et pour ses consultations de merde à laquelle ma mère a assisté pour se faire plaindre avec MON fric que j’avais gagné en réparant aux riches cocos leurs appareils, encore heureux que certains ne jettent pas quand ils ne veulent plus, même si ça devient de plus en plus rare…mais bref. Donc, elle a pété les plombs, a été emmené en prison, a fait des crises de folie et a finit par être placé en hôpital psychiatrique. Et tu sais quoi ? Ça me faisait du BIEN quand je l’ai appris, parce que je ne la supportais PLUS, selon elle j’étais un BATARD, je deviendrais un putain d’homme comme les autres. Ah oui, Fabien a bien essayé de m’aider. Le pauvre. Il est mort IL EST MORT. TU PIGES ? STUPIDE BOUQUIN. Il est mort devant mes yeux. Parce qu’un des mecs de ma pute de génitrice avait décrété que c’était de la faute de son fils si sa meuf avait fini dans cet état. Il aurait du lui demander avant combien de dose de shit elle prenait chaque nuit. Il est venu, et Fabien m’a protégé de lui. Ils se sont battus comme des clébards. Forcément un vieux peut pas trop espérer gagner contre un musclor sortit d’on ne sait quelle classe. Le seul être que j’aimais au monde a finit défoncé sur le sol, la mâchoire détruite, les yeux exorbités, le visage en sang. Je ne sais même plus comment tout ça a pu arriver. Je sais juste qu’après tu vois, j’ai fuis. J’ai fuis comme un lâche pour échapper à cet individu. Je n’ai même pas voulu me venger sur le moment, oh non, je ne pensais qu’à ma peau de BATARD. Vive les portables, j’ai appelé les CRS pendant que je me cachais lâchement dans un bar du coin. Il a voulu me crever, parce qu’il avait la haine, la haine et il pensait que tout était de ma faute. Il m’a battu ce porc, il a failli me couper la gorge, et tu sais quoi ? Je me demande bien pourquoi la police lui a tiré une balle dans le cerveau. J’aurai bien mieux fait de mourir sur place, d’être saigné comme un lapin et d’être cuit à petit feu. Ils m’ont emmené avec eux. C’était un supplice. C’est un supplice. Finalement comme ils ne savaient pas quoi faire de moi ils ont fait comme si je n’existais pas ces chacals. Tu sais ce qu’ils ont fait ? Ils m’ont relâché, ils ne sont pas embarrassés d’inutiles ennuis. J’étais seul. Seul dans ma maison. Ma vie était fichue, et il n’y avait personne pour s’en rendre compte. Je me suis laissé crever quelques jours, errant dans mes souvenirs. Puis je me suis rappelé ce que Fabien disait. Qu’est ce qu’il disait ? Qu’il fallait se battre, toujours, et je crois bien qu’il avait raison. Moi aussi j’ai eu envie de crever, j’ai eu envie de me suicider mais je me suis dit que tout ce que Fabien m’avait apprit n’aurait servi à rien. Alors j’ai rassemblé toutes les économies qu’il me restait, j’ai pris l’héritage de Mr Fabien, j’ai pris tout le fric que ma mère dépensait en beuh, ça faisait un paquet, et j’ai pris un billet pour le Japon. Pourquoi ? Je ne pourrais pas te le dire. Le japon est un pays si industriel, qui marche sur l’électronique et je crois que ça, ça me plait beaucoup. Je n’ai jamais pensé pouvoir y faire ma place mais au moins j’aurais quelque chose à faire là bas. Je n’ai pas envie de rester dans ce pays de merde pour voir les fantômes revenir. Alors là, je suis dans l’avion. Je vais bientôt arriver, j’ignore ce que l’avenir me réserve, peut être que je vais crever comme un rat dans les rues. Ça fait rien, je sais un peu parler Japonais, j’apprendrais.

9 Juin 2177
Mon cher confrère.

J’espère que tout se passe bien pour vous, je sais bien que travailler dans l’hôpital le plus renommé de Tokyo n’est pas chose facile, je vous envoie du courage en espérant vous revoir très bientôt.

Je vous écrivais cette lettre pour vous parler d’un cas qui m’est vraiment très intéressant. Celui d’un jeune garçon, dont je garderais le nom secret. On me l’a récemment amené au cabinet alors qu’il faisait une sorte de crise hystérique en plein milieu de la rue. J’ai ensuite appris qu’il faisait partie du groupe des Oubliés, mais je garderais cela secret après tout je ne veux aucun ennui avec le gouvernement, et j’ose espérer mon ami, que vous garderez cette lettre à l’abri de tout regard indiscret. Revenons à ce garçon. Il est mécanicien, il répare beaucoup de choses et est très doué. Il gagne de l’argent ainsi, tout seul, il vit dans les bas quartiers et a prit la mauvaise habitude d’aider les gens qui ont besoin de ses services, s’il ne travaillait pas gratuitement par certains moments il s’enrichirait un peu plus, mais ceci amène sur un autre débat, et je n’ai pas la prétention de pouvoir juger ces gens. Revenons sur son cas. Il est réellement intéressant. Il semble qu’il ai développé une sorte de syndrome très étrange. Je m’explique, ce garçon fait à peine 13 ans, ma surprise fut réellement intense quand, grâce à un test ADN j’ai su qu’il était né 2162, ce qui lui fait 16 ans. Un ralentissement de la croissance n’amènerait pas à un tel résultat, d’autant plus qu’il me parait très intelligent et qu’il possède la maturité d’un adolescent disons… « Normal ». Il y a autre chose, j’ai constaté un sentiment de refoulement de toutes ses pensées, il tente de se cacher, il a beaucoup de mal à me parler, mais c’est probablement car il ne me fait absolument pas confiance. Un enfant de 13 ans se laisserait probablement aider sans se poser de question. J’ai essayé de l’examiner, ce qui ne fut pas chose facile, ce garçon s’est violement débattu, il ne voulait ni qu’on le touche ni qu’on découvre ce qu’il cachait au plus profond de lui. Je n’ai pas le droit de le garder, j’ai fini par le relâcher au bout de quelques semaines quand les autres médecins ont décrété qu’il était en parfait santé. S’ils s’étaient un peu plus penchés sur son cas, ce garçon aurait pu faire progresser nos connaissances sur la psychanalyse. J’ai pu tout de même en déduire des points qui ne sont pas à négliger. C’est un garçon qui a développé une maladie pathologique à plus forte échelle que les autres patients qui produisent des phénomènes semblables. Tout ce que j’ai pu interpréter du syndrome de ‘Peter Pan’ dont ce garçon est atteint, est la volonté dont il a fait preuve pour en arriver à ce point. Il semble que son pessimisme, et son dégout de certaines choses que je n’ai pas définies, impossible à connaître vu qu’il ne voulait rien dire. Je n’avais pas le droit de le forcer, c’était bien dommage. Bref, il semble que tout ce qu’il ressente l’a amené à vouloir garder son corps d’enfant. Je ne sais comment c’est possible, je vous prie de m’excuser de ne pas avoir plus d’informations à vous apporter, moi-même j’ai eu du mal à arriver à cette conclusion. Je compte sur vous pour m’apporter vos remarques et ce que vous pensez de cette espèce de syndrome dont j’aimerai bien connaître l’organier, la source, et sa définition.

Bien à vous.
Votre ami, le docteur Tsubaki.

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Invité

18 Janvier 2179

Cher Journal

Aujourd’hui il m’est arrivé quelque chose de spécial. De très spécial. J’arpentais les rues, mon matériel de mécano à la main, enfin tu vois le genre. Je ne venais pas souvent dans cette partie de la ville, je ne savais même pas où j’allais. Et tu sais ce que j’ai trouvé ? Un Humanoïde. J’ai su que c’en était un car sa peau n’était pas en train de pourrir dans l’espèce de décharge où il était. J’ai su que c’en était un car on lui avait tiré une balle dans le front et des fils s’en échappait. Il était mort, désactivé, je n’en savais rien. Je l’ai regardé. C’est un humanoïde magnifique. Je ne savais même pas au début s’il s’agissait d’un homme ou d’une femme. Il ne ressemble pas aux humains, il ressemble à un ange. Il a une peau parfaite, des cheveux bleus, ou blancs, ou violet je ne sais pas. Il possède réellement une beauté impressionnante. Le voir comme ça, sans « vie » m’a choqué. J’en ai voulu à mort à ceux qui avaient osé abandonner une telle créature. Il était là, immobile, les yeux fermés, le front défoncé, sur un tas de je ne sais pas quoi, des vêtements en cuir, j’ai bien imaginé d’où il venait, j’essayerai ai de l’interroger quand il se réveillera de nouveau. Car je l’ai ramené tant bien que mal chez moi, je n’ai pas pu le laisser. Je l’ai trainé dans la rue en évitant de me faire agresser, un tel humanoïde je pense que ça vaut de l’or. Après je l’ai couché dans mon atelier et j’ai commencé à le rafistoler. Il a eu une structure complexe, ce n’était pas chose facile, j’ai bossé toute la nuit pour espérer de lui redonner vie. J’ai pu refermer son front, il n’a plus aucune cicatrice, si ce ne sont les étranges marques qu’il a sur le long du corps. Elles ont vraiment l’air douloureuses. Ce robot a l’air d’avoir souffert. D’autant plus qu’il possède des nerfs électroniques par milliers, certains humanoïdes n’en ont pas pour ne pas ressentir la douleur, lui c’est sa beauté qui change tout. Heureusement il possédait un autre disque dur, qui n’était pas collé dans son cerveau. Grace à ça j’ai pu le mettre à charger.

/

Puis il s’est réveillé. Il a gardé des séquelles. Il a du mal à parler, à bouger, à réfléchir, il est un peu craintif. Mais je crois qu’à force de lui implanter des puces je réussirai à lui faire revenir la mémoire et à lui donner tout ce qui lui manque. Pourtant il a l’air de bien m’aimer. Ça me fait plaisir, je n’avais pas d’argent pour me payer un humanoïde, il a l’air d’un humain, c’est très étrange. Pourtant il n’a vraiment pas un physique commun. Comme il m’a dit qu’il n’avait pas de nom j’ai décidé de l’appeler « Lelio ». [/font]

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A shadow of myself, just who am I?
Scan horizons
A tragic mystery.
You could've left me here, sealed inside the pod.
No one would ever know: The Chaos Control!
My true identity!
The power that is me

You try to take me down, stop the show.
Seems you've never tasted fear or loss of control.
The power lives in me.

Trapped in this machine

Terry reposa la page sur le sol, une main sur son front, perdu dans ses pensées et ses souvenirs. Depuis combien de temps faisait il partie des oubliés ? Depuis combien de temps connaissait-il Lelio ? Et maintenant il était entré à l’université grâce à sa culture, tout ce qu’il avait appris en passant sa vie sur l’ordi. Non, il n’était pas stupide. Il savait que sa vie ne devait pas finir. Même s’il savait également que son corps était en train de se détruire lentement. Mais il n’était plus seul. Il avait …

« Que faites vous mon jeune maitre ? <3 »

L’humanoïde aux yeux d’or rentra dans la pièce, observant le petit garçon étalé sous une tonne de papier et de feuilles volantes. Il le regarda tendrement et vint l’aider à ranger le bazar des souvenirs que Térence avait voulu ressortir.

• { One Superstition

* I'm looking through the screen } Térence Terrys10

Nom : Isthmar
Prénom : Térence
Surnoms : Thorn
Statut : Industriel, pute à ses heures.
Classe Sociale :Moyenne/

Me & Myself :

Dans le monde des rêves…enfin, il peut y accéder. Thorn lui est très différent de celui qu’il est dans le monde réel. Térence est devenu un garçon profondément moqueur, cynique, même insupportable en fait. Il n’hésite pas à abuser des autres, et à faire ce qu’il lui plait. D’autant plus qu’en étant ainsi, en dessinant des rictus cruel sur ses lèvres il parait bien plus adulte, plus mature, et qui sait quoi encore. Bien sur il a gardé son physique, quoique sa taille ai un peu évoluée, il n’a plus ce petit air innocent qu’il affichait autrefois, au lieu de ça on trouve en lui un adolescent sûr de lui, disons le, carrément classe. Il passe une main dans ses cheveux, jette un coup d’œil méprisant autour de lui, sourit en coin, dessert sa cravate, et sa chemise noire qui lui colle à la peau, avant d’écraser ses fines chaussures effilées d’homme d’affaire sur le bureau. Son client frémit, impressionné par le charisme de ce gosse, un des cerveaux d’une entreprise destinée à créer des Humanoïdes au meilleur physique possible.

Il faut croire que l’argent qu’il gagne l’a déniaisé, mais dans ce monde l’adolescent est heureux, très heureux il faut croire. Il couche pour réussir, dépense, prend tout le monde pour de la merde et est concentré sur sa petite personne. Enfin…la seule chose qui n’a pas changé est l’intérêt qu’il porte à Lelio, (sauf que dans le monde des rêves c’est lui qui est seme *sblarf*). Pire que d’avoir un mauvais fond il s’est carrément changé en alter ego démoniaque. De sa voix claire, imposante il réplique, écrase ce qui se trouve sur son passage. La seule chose qui peut le calmer est la présence de Lelio dans ce monde qu’il déteste toujours autant malgré tout, même si cette fois il a su s’y faire une place, plus que bien ancrée dans la société. Grâce son talent pour la mécanique il a réussit, en suant eau et sang, et avouons le, en se prostituant, à accéder à un rang plus élevé. Il n’est plus le gamin aimant, tout sensible, tout gentil, oh ça non. Il est devenu égal à lui-même, une statue de marbre jouant de ses charmes, mais au moins son syndrome qui le paralysait n’existe plus.

* I'm looking through the screen } Térence Fairy-10

Pourtant on ne peut pas dire que le Térence de la réalité rêve de richesse, de fortune et de gloire, Thorn n’est pas l’homme qu’il aimerait devenir, bien au contraire. Thorn commence à rire tout seul, cruellement, Thorn est social, Thorn est têtu, Thorn est buté, mais humain. « Thorn » signifie ‘épine’ et ce n’est pas pour rien.

Il garde son sang froid, sait avoir de la prestance, mais Thorn rêve toujours de plus d'argent, il veut se remplir les poches de billets verts, rouler sur l'or, cette cupidité lui fait perdre beaucoup d'amis, dont il n'a pas besoin, il ne sent plus souvent le besoin de se lier aux autres. Bien sur il y a des exeptions, il n'est pas un fou égocentrique...enfin si mais sa personnalité est plus subtile que ça. Il montre un visage dur alors qu'à l'intérieur il garde encore des sentiments purs, et bien cachés. Comme si Térence se rendait au carnaval.

* HORROR SHOW *

* I'm looking through the screen } Térence Bakura10

Personnalités sur l’avatar : Ian Hasumi – Fairy Cube
Prénom : On fait un pendu ? C_ _ _ _ _ _ _ E
Pseudo : Line
Âge : 16 bougies
Sexe : Inconnu 8D
Comment trouvez-vous le contexte ? Très intéressant *^* Pas simple mais c’est très bien comme ça.
Et le design ? Magnifique ToT BOUHOUHOU Bravo
Où avez-vous connu le forum ? C’était un jour de pluie, où je décidais de rendre visite à Hachinou-choute envers et contre tout >D J’ai lutté contre les bus et les wèchs mais j’y suis arrivé *sblarf* <3 Et VIVE HACHI !!!!! *w*
Avez-vous reçu un colis ?

Spoiler:

Quel parfum ?

Spoiler:

RP ?

Spoiler:

Quelque chose à ajouter ? Je suis ton père kff kff *M* Non, u.u Pour Lelio j'attend que la greluche s'inscrive donc faut pas s'étonner si j'arrête pas de parler de lui alors qu'il existe pas encore xD

*kyate*
LINEEEEEEEEEEEEEEEEE! I love you

(faut un émoticone coeur, ç'pas possible XD)
Bienvenue *w*
Bonne chance pour la suite et fin de ta fiche que je trouve déjà bien avancée ^w^, c'est Rihito qui va être content: *___*
Un jour, mon ordi viendra, hein (h) *pardon XD*
Edit: Tu peux mettre un rp venant d'un autre forum, vu que ton personnage n'est pas un personnage prédéfini <3.

Invité

♥♥♥♥♥♥

Après groupitage intensif sur tout le long, je valide cette fiche parfaite. Et si tu me dis que t'écris du nawak, j'imprime cette fiche, et la publie dans le journal de mon collège (quoi que je me doute que quelqu'un comprenne quoi que ce soit 8D) sale perverse yaoïste, bienvenue dans le monde où tout est possible,
Validé >Rêve bien.