William arrive. Warnig || Manque the Story||

Physical Appearance :
Physiquement, William n’a rien à envier à personne. Enfin, pour lui en tout cas, il s’aime et sa se voit. Il sait se mettre en valeur aussi mais nous verrons ça bien plus tard.
Le miroir, immense, renvoyait au jeune homme dénudé une image tout à fait charmante : un corps fin et souple où chaque muscle roulait sous une peau d’albâtre avec la perfection d’une mécanique bien huilée ; imberbe de la tête au pied, William n’avait pas à se soucier de sa moustache, d’une barbe ou bien d’une fourrure au niveau de son torse. Ses jambes étaient minces et lisses, assez grande sans pour autant l’être trop, lui donnant la silhouette élancée d’un marathonien.
C’était un homme, personne n’aurait pu en douter d’après son torse plat et ses attribues masculins en tout cas, ainsi personne ne pouvait le confondre avec une fille.
Mais plus le regard du jeune homme montait devant son image, plus la perception de cet homme devenait flou : son cou était grêle et presque trop grand pour être élégant, son visage était fin comme celui d’une fille et n’avait rien de viril. Ses sombres yeux bleus comme l’azur étaient à ce moment là cachés par les lentilles de contacts vertes qu’il aimait arborer lorsqu’il sortait. Parce qu’il trouvait que ce vert lui correspondait mieux que le ciel de ses prunelles. Bien sûr, on le lui avait souvent dit, c’était du gâchis pur et dur mais il n’en faisait qu’à sa tête comme d’habitude !
L’une de ses oreilles était percée en deux endroits et il y portait des anneaux d’argent lui donnant un air un peu rebelle, et un pic cernait son arcade gauche ce jour là. Mais celui-ci, il oubliait souvent de le mettre – vu qu’il le quittait avant chaque fois qu’il séjournait dans la salle d’eau.
Ses cheveux sombres étaient parsemés de reflets bleus et gris anthracite, et lâche sur ses épaules ; en général, il remontaient les mèches éparses et sauvages en queue de cheval parce qu’elles étaient incoiffables et qu’elles lui tombaient souvent sur le visage, le gênant. Ca aussi c’était un caprice, ce dégradé et ces couleurs dans ces cheveux, caprices qu’il avait assouvis sans aucune gêne d’ailleurs et qui lui plaisait bien.
Will se retourna alors et essaya de regarder le peu qu’il apercevait de son dos, de la chute de ses reins – où trônait un tatouage en forme de lézard avec un collier autour du cou – et de son arrière-train ; il grimaça car il trouvait que ses fesses étaient trop plates : il était vrai qu’il remplissait rarement ses levis et autres jeans de marque.
Parce que Will ne portait que des jeans lorsqu’il sortait. Sauf lorsqu’il jouait le travesti ou qu’il avait envie de cuir, de soie ou de velours. Dans ces cas-là, il changeait mais c’était plutôt rare. Quant à son travestissement, c’était juste parce qu’il était fan du look « gothique lolita » et qu’il voulait lui aussi porter de si belles robes et de si belles robes. Mais lorsqu’ils sortaient comme ça, il était méconnaissable : font de teint blanc, mascara et eye liner noir, ombre à paupière bleu argenté, perruque aux longs cheveux bouclés bruns aux mèches bleus… Et les robes toutes plus chargées et plus belles les unes que les autres s’enchainant. Mais bon ce n’est qu’une fois de temps en temps, sinon il se contente de les collectionner dans sa garde robe personnelle.
Une autre particularité physique ? Il porte une gourmette à la cheville gauche – parce que Monsieur ne fait pas comme tout le monde et ne veut pas la porter au poignet – et possède une petite cicatrice sur le poignet droit, là où se trouve sa montre.


Read My Mind :
On l’aura sans doute remarquer en lisant son questionnaire, William est un peu allumé ; un peu naïf aussi, enfin plus qu’un peu d’ailleurs mais surtout il est rêveur. Le jeune homme fait partie de ces adolescents atteint du syndrome de Peter Pan, il est un peu enfantin dans sa tête, il ne veut pas grandir, les responsabilités le terrifie. Il ne supporte pas de devoir obéir à d’autres personnes que sa mère, il ne supporte pas les lois, il ne supporte pas les règles, un peu comme s’il faisait une allergie à l’autorité.
C’est un ange insouciant, qui aime le monde et qui voudrait que le monde l’aime ; il ne veut pas juger, il ne veut pas penser, il ne veut pas réfléchir, il veut vivre comme il le souhaite, il veut faire ce qui lui plait sans contrainte, jusqu’à ce qu’il soit las et qu’il change. Car William est quelqu’un de changeant, mis à part le karaoké, il ne cesse de changer de loisirs, il veut tout essayer, revenir pour retenter et pour finalement aller voir ailleurs.
Curieux et insouciant jusqu’au fond du cœur, il aimerait tester toutes les expériences possibles et inimaginables dans tous les domaines qui soient. D’ailleurs c’est au court de certaines de ces expériences qu’il s’est rendu compte de son attirance pour la gente masculine. Mais il se sent bien dans sa tête, il se sent bien de son corps. Plutôt du genre franc et extraverti, il vous blesse inconsciemment avec toujours cette innocence enfantine dans ces prunelles, parce qu’il ne pose pas toujours les bonnes questions, parce qu’il ne comprend pas ses erreurs, il n’apprend pas du tout de ses dernières et commet les mêmes inlassablement.
A le voir, on le prend réellement pour un fou et ce fou rêveur soit on l’adopte soit on l’évite mais prenez garde à vous car William est un vrai pot de colle ! Toujours en manque d’affection, s’il ne vous voit pas tous les jours, lors de votre prochaine rencontre il vous sautera dessus pour se faire câliner ; dans ces moments là il ressemble à un chien.
Et il a toujours le sourire aux lèvres, il paraît toujours aller bien, il n’y a jamais rien qui le blesse. Enfin il paraît juste. Parce qu’au fond, il se sent très seul. Même entouré de ses amis, la solitude lui pèse sur le cœur un peu plus chaque jours. Il ne veut plus voguer d’aventures en aventures, il voudrait trouver sa seconde moitié pour être complet et ainsi, réellement heureux.
C’est beau de rêver à une osmose parfaite non ? On dit que l’espoir fait vivre et que les rêves peuvent être prémonitoires. Alors, avec patience il attend chaque jour un peu plus et il prit sans cesse pour que celui qui lui soit destiné arrive enfin à ses côtés.

Sinon, malgré son côté insouciant et enfantin, William possède des facilités qui l’aident bien à l’école. Il se maintient au-dessus de la moyenne grâce à celles-ci sans avoir besoin d’étudier. Parce que les études, c’est comme l’autorité, William en fait une véritable aversion ! Ca lui donne des boutons d’ouvrir ses cahiers pour relire ses leçons ! Et les boutons, William ne les aiment pas non plus, ils font tâches sur son corps d’albâtre.

Mais avec tout ça, vous ne remarquer pas que des fois, William peut-être un peu contradictoire ? C’est vrai, il avoue lui-même être illogique et à côté de la plaque. Malgré sa curiosité, son affection et l’attention qu’il vous porte, il lui arrive souvent d’être totalement hors de ses baskets ! Et il aime passer du coq à l’âne aussi. Vous parlez de la mort d’un proche ? Il va vous demander ce qu’il y avait au menu d’hier… C’est un quiproquo à lui tout seul en fait William, on sait jamais trop quoi en penser. Mais bon, il s’aime comme il est et il est un peu comme un rayon de soleil à vous témoigner tout le temps sa joie et son amour débordant… Trop débordant ^^’

Mais bon, n’oublions pas que William est aussi un gosse de riche. Et qui dit gosse de riche, dit enfant gâté. Et oui, William a toujours eu tout ce qu’il voulait et même s’il supporte le non il peut se montrer très agaçant et têtu lorsqu’il veut quelque chose. De toute façon, quoi qu’il arrive, il sait qu’il l’aura. Enfin lorsqu’il s’agit d’une chose, sa mère veut bien satisfaire tous ces caprices. D’ailleurs William a déjà trouvé le prochain sur la liste : il veut un androïde performant ! Il est égoïste avec ses affaires et il ne donne ni ne prête ce qui lui appartient, sauf à ses amis très très très très très très… Proches.

Dear Diary :
(L’histoire de votre personnage / minimum 30 lignes.)[/list]


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• { SECOND ME *

Nom : Ichini
Prénom : William Kazumi
Surnoms : Unknown
Statut : Prostitué
Classe Sociale : Pauvre

Me & Myself :
Je suis sûr que tout le monde se demande comment il se fait qu’un être si riche dans la réalité se soit retrouver si pauvre et prostitué dans ce monde-ci.
La réponse est toute simple : à Neville, Will est orphelin depuis ses douze ans. Pas que sa mère ne soit pas ici, juste qu’il n’a pas de liens de parentés avec celle-ci dans ses rêves. Et donc, dans ses rêves, depuis ses douze ans, il se prostitue.
Parce que c’est moyen rapide et facile d’avoir de l’argent et puis, il ne peut pas dire que ça ne lui plait pas, bien au contraire.
Parce qu’ici William n’est plus vraiment William. Ici, il n’est pas rayonnant, il n’est pas naïf, il n’a rien d’innocent, il n’est pas capricieux. Quoi qu’un peu quand même. Non ici l’adolescent est un nympho drogué au poppers, arrogant, à l’ironie mordante et au sadisme récurent. Ici, il laisse ses plus bas instincts se satisfaire sans se soucier des conséquences que cela engendre. Parce que les bas quartiers sont dangereux à Neville West, Will sort toujours armé ; déjà parce que ses vêtements font de lui un véritable dépravé : chemises ouvertes sur son torse nu ou déchirée à de divers endroits, couvertes de tâches en tout genre, ses jeans sont dans un état semblable et dockers noires sont un peu petites et un peu miteuses. Il sort même pieds nus des fois, oui ça lui arrive, mais il se méfit des bouts de verres cassés qui jonchent les rues.
Et lorsqu’il y a une bagarre, il n’hésite pas à se joindre à elle, n’importe quel camp lui convient tant que c’est celui du gagnant. La vie n’est pas toute rose et n’est pas de tout repos pour le jeune demi-asiatique mais rien ne semble lui faire plus plaisir que ces parties de jambes en l’air.
Ah ce William ! Il croit dur comme fer aux deux réalités mais s’il savait ce que ses rêves lui apportaient, il finirait traumatisé et ne voudrait plus fermer l’œil pour laisser le sommeil l’emporter dans les bras de Morphée !


« My Dear, profoundly put to sleep, locked in the silence... Sleep, sleep again. I shall not be any more here to your wake up... I am like a fairy, I fly free with my wings... And I don’t want you become my chain... »

William s’habilla et sorti dans l’air frais du petit matin ; il ne devait pas être plus de deux heures mais il n’avait pas encore songé à dormir, il fallait qu’il travail pour payer le loyer de son appartement minable.
Il souffla et le nuage gris qui se forma ne fut bientôt plus qu’une illusion ; s’adossant au mur sale, il se laissa glisser à terre en regardant le ciel couvert, la clope au bec. La porte s’ouvrit et les billets lui tombèrent dans les mains alors que son client lui souriait et lui souhaitait une bonne semaine avant sa prochaine visite ; cet homme d’affaire voulait toujours tous les extra et il payait bien, Billy était content de le compter parmi ses clients, tous les prostitués du quartier n’avait pas cette chance.
Enfin si on pouvait appeler ça une chance.
Mais bon, l’adolescent aimait la douleur, il la cherchait et il l’infligeait. Masochiste à cent pour cent, ce devait être la cause de son sadisme, partie de son caractère qui ne le quittait jamais et qui le poussait parfois à faire des choses dangereuses.

Il ne savait plus depuis combien de temps il vendait son corps. Sa « mère » était morte l’année de ses douze ans et il avait dû se débrouiller seul pour vivre : pour garder son toit et trouver de quoi se nourrir ; à l’époque, sa misérable mère n’avait pas pensé à vendre ses attribues féminins, à moins que cette absence de pensées avait été là dans le seul but de préserver une fierté déjà trop rabaissée par sa condition sociale.
Elle avait fini par mourir d’overdose.
Il n’y avait jamais vraiment eu de liens entre eux deux alors il ne l’avait pas vraiment regrettée, et puis grâce à sa mort, il avait trouvé un excellent moyen de s’éclater et il s’était affirmer… Toutes ces années en solitaires – si on oubliait ses clients – il s’était cherché et il s’était trouvé bon nombre de chose que les autres appelleraient sans doute des défauts mais qui pour lui rimaient plutôt avec des qualités.

En apercevant la silhouette du prochain homme qui l’accompagnerait dans son lit, Unknown écrasa sa cigarette au sol et tira une petite fiole de sa poche interne ; il dévissa le bouchon, aspira légèrement l’odeur qui s’en dégageait et il referma la fiole avant de se relever et de se laisser saisir par la taille avec brutalité.
Depuis ses treize ans, sa vie se résumait à quatre actions seulement : manger, sortir, coucher, dormir.

Et il n’y avait rien d’autres à ajouter. Sauf peut-être qu’il en voulait toujours plus et qu’il détestait la lassitude. Ici, il trouvait toujours un nouveau truc à faire, un nouveau machin à tester, un nouveau bidule à essayer…
Et cette vie de dépravé le satisfaisait ; parce qu’il était libre. Du moins, il se pensait libre et c’était le plus important. Rien d’autre ne comptait, ni son corps, ni son âme de damné ni son cœur qui souffrait à chaque heure de plaisir…
Il n’avait besoin que d’être libre…

« I am the freedom, the true freedom ; and there is nothing wich can retain me... »

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* REALITY SHOW *

Personnalités sur l’avatar : Takuto to Fullmoon Wo Sagashite
Prénom : Chloé
Pseudos : Fehla (mais anciennement Nathan ici)
Âge : 17 ans.
Sexe : féminin
Comment trouvez-vous le contexte ? Toujours aussi bien.
Et le design ? Toujours aussi sublime
Où avez-vous connu le forum ? Par le partenariat avec WH*
Avez-vous reçu un colis ?

Spoiler:

Quel parfum ?

Spoiler:

RP ?

Spoiler:

{ [list]Elle sentie le doute et la crainte qui emplissait la demoiselle comme s’il s’était agis de ses propres tourments. Ses questions semblaient l’avoir mise mal à l’aise et elle se sentie confuse de cette situation.
Elle savait – et comprenait – qu’à chaque parole prononcée elle pouvait détruire autant que construire quelque chose ; il fallait qu’elle pèse le poids de ses mots, on le lui avait souvent répété et pourtant il n’était pas rare de la voir énoncer la moindre de ses pensées quand il s’agissait de comprendre, ou du moins d’essayer, les autres.
Ainsi elle n’éprouva aucune hésitation lorsqu’elle formula sa réponse à Nairi ; pourquoi aurait-elle dû en avoir ?

« Devrais-je être étonnée de voir un ange ? Le Seigneur n’envoie-t-il pas souvent sur terre ses subordonnés pour guider les Hommes sur la meilleure voie à suivre ? »

Oui, Hana était naïve et même plus que ça. Timide et étourdie, elle n’était qu’un grain de poussière sur l’immense planète terre et elle en avait conscience. Ainsi ne se posait-elle que rarement des questions sur la valeur de son existence ou sur celle des autres.
Le fait que Nairi soit là, devant elle, n’en soulevait pas plus. Certes, elle n’avait pas remarqué tout de suite que la jolie blonde était un être céleste mais sa sensibilité ne la trompait pas : Nairi n’était pas comme elle, elle n’avait rien d’humain. Enfin pas dans le sens des écrits en tout cas ; elle était une envoyée de Dieu mais la jeune comtesse n’avait aucune idée de la mission qu’on avait pu confier à l’ange pécheresse. Comment l’aurait-elle pu ? Elle n’avait que vingt ans et des brouettes et si elle connaissait l’histoire de l’incendie, elle ignorait tout de ses ancêtres. De plus, Hana était quelqu’un qui ne voulait pas s’enfermer dans le passé et qui préférait vivre pleinement son présent tout en se forgeant un avenir sur.

Avec une innocence étrange pour une dame de son âge, elle regardait l’ange attendant sans doute une réaction de sa part. Elle aurait voulu la sentir s’apaiser et pourtant la tension était toujours là. Alors elle commença à se poser des questions à son sujet, peut-être avait-elle causé du tort à cette personne qui ne lui disait pourtant rien. Peut-être que les humains devenaient anges après leur mort et qu’elle avait commis un acte irréparable envers Nairi lors de son vivant ? Où alors, les Holoways, par le passé, ses ancêtres, avaient dû faire beaucoup de mal à l’ange pour qu’elle soit si apeurée, non si frustrée… En réalité, elle n’aurait même pas pu expliquer ce qu’elle ressentait lorsqu’elle fixait la belle blonde ainsi ; elle n’était pas douée d’empathie, elle était juste hypersensible. Et cette sensibilité surdéveloppée ne lui apportait pas que du bien.
Frissonnant une nouvelle fois, elle finit par tourner la tête et par regarder une fleur de lys blanche en souriant timidement à cet être fragile que la nature avait crée pour embellir la Terre ; toute la pureté et l’innocence de cette plante lui rappelaient à quel point elle pouvait être rêveuse et maladroite.

« Ca sonne bien. Nairi, c’est doux et chaleureux. Est-ce que ce nom possède une signification particulière ? Il doit bien y avoir une fleur pour correspondre à ce prénom. »

Ah, Hana et son langage florale, c’était comme le « i » dans « aimer », c’était une chose qu’on ne pouvait pas supprimer sous peine de devenir amer. Mais trop peu de personnes pouvaient comprendre la signification réelle de ses bouquets, surtout ceux qu’elle déposait chez les Felty à l’attention d’Ethan… Sans doute ne comprenait-il rien à ces fleurs envoyées par une femme dont il se fichait comme de son premier biberon.
Devenue mélancolique, Hana était repartie dans ses pensées, oubliant presque la présence stressante de l’ange blonde à ses côtés.