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 Sir Peter Blackwood - I'm a swine, nevermind. [U.C]

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Sir Peter Blackwood - I'm a swine, nevermind. [U.C] Empty
MessageSujet: Sir Peter Blackwood - I'm a swine, nevermind. [U.C]   Sir Peter Blackwood - I'm a swine, nevermind. [U.C] EmptyVen 10 Juil - 14:43


« You Get Hurt,
Am I Sorry ? »

    • {I'M KILLING THE LAMBS*


(Une image 100*100)
    Nom : Hawkins
    Prénom : Peter Blackwood
    Surnoms : Bien sûr. Pourquoi pas mon poussin pendant que vous y êtes.
    Sexe : Plus que déterminé.
    Age : Vingt et un ans.
    Statut : Etudiant.
    Groupe : Etudiant.
    Classe Sociale : Riche, Riche, Riche. Quoi d'autre. Peter aime le luxe et s'en délecte sans modération.



    « You're empty? Take a pill
    Unhappy? Take a pill
    You're hungry? Take a pill
    Too tired? Take a pill
    Can't sleep? Take a pill
    Braindead? Take a pill
    Can't fuck? Take a pill
    Or join the army »




    Questionnaire.


    • L'amour ? « Cela peut toujours être utile. »
    • L'amitié ? « Je suis l'ami de beaucoup. C'est rarement réciproque. »
    • La confiance ? « Tu me l'octroieras avant même de t'en rendre compte, Darling. »
    • La musique ? « Un phénomène de société intéressant, non ? »
    • Le surnature l? « Ahem. »
    • La chirurgie esthétique ? « Je suis beau, je ne peux pas juger. Mais c'est pitoyable. »
    • L'actualité ? « Celle de la bourse. »
    • Les Oubliés ? « Un groupe de gamins rebels... Pas très efficace, franchement. »
    • La Gommose ? « Ça commence à trainer, tout ça. »
    • Chanson favorite ? « Celle que tu ne pourras supporter. »
    • Personne admirée ? « Celui qui vit dans l'autre côté du miroir. »
    • Mûgen Corporation ? « Leur croissance est remarquable. »
    • La Politique du gouvernement ? « Hypocrite. Logique, pour un gouvernement non ? Le peuple ne sera de toute façon jamais satisfait. »
    • La théorie des deux mondes ? « Stupide. »
    • Un mot a quelqu'un en particulier ? « Put that stupid smile away, you foolish thing. »
    • Les médias ? « Manipulables et manipulateurs. C'est toujours intéressant de savoir les amadouer. »
    • Vin ou bière ? « Thé. Quitte à vouloir vivre des sensations fortes, autant passer directement à des choses plus efficace. Je ne suis plus sensible à l'alcool depuis longtemps. Toi, par contre... »
    • Lieu favori ? « Le Wanted. Tu sais ce club près du centre ? Ah non c'est vrai. Ton nom n'est pas sur la liste. »

    Physical Appearance :

    (Décrivez l’apparence physique de votre personnage : le style vestimentaire, la taille, le poids … / Avec un minimum de 10 lignes.)

    Follow the Swine ;


    Ah, qu'il est élégant ! A vrai dire il a ce charme, cette éloquence si particulière propre à l'aristocratie anglaise. Peter est un jeune homme courtois, poli, extrêmement galant, délicat et attentionné. Oh, il est sarcastique, cynique, tranchant. Presque méchant, peut-être par moment. Mais on lui pardonne tout, à ce beau jeune homme, si charismatique. Il n'est pas sadique, non, on ne peut le croire. Il a juste par moment un caractère un peu difficile, lunatique. Mais il est gentil. Observateur, très observateur, il se sert de ce don pour satisfaire les moindres désirs de ceux qu'il aime. S'il a parfois l'air un peu bizarre, un peu ailleurs, c'est juste qu'il est un peu rêveur, vous répondront ses nombreux, très nombreux amis. Trop nombreux. Car oui, Peter est sociable, il est tellement sociable que c'en est effrayant. Il ne peut pas faire deux pas dans l'université sans dire bonjour à au moins deux ou trois groupes de jeunes parlant dans un coin. Il est vrai que vu l'intelligence terriblement supérieur du jeune homme, aller à l'université pourrait paraître absurde, mais il est toujours intéressant de se faire des relations. Ah, voilà... Nous y arrivons.

    Ce qu'est vraiment Peter. L'essence de son être, ce que si peu de gens arrivent à déceler. Tout se tient dans ce mot : « intéressant ». L'intérêt. Voilà, tout ce qui importe, dans ce monde, tout ce pour quoi Peter vit, tout ce pour quoi il se fait aimer, tout ce pour quoi il observe, regarde, respire, boit, fume, tout ce pour quoi il fait semblant d'aimer, semblant de rire, semblant de vivre. L'intérêt. Peter est riche, très riche. Il aime l'argent, il aime le luxe, il aime tout cela, et il n'en aura jamais assez. Oh, il ne se croit pas vénale, il aime juste les bonnes choses. Et tout peut s'acheter. Tout.
    Manipulateur, Peter ne cache pourtant pas ce qu'il est. C'est un salaud, un de la pire espèce, ceux qui vous enfonceront quand vous êtes déjà au plus bas, qui ne vous voient pas comme un être humain sinon un animal de compagnie – au mieux –, c'est un de ces salauds là, ceux que l'on hait... Et que l'on adore. Parce que tout de même... Il est tellement beau. Il est tellement classe. Quand il parle on ne peut s'empêcher d'être accroché à ses lèvres, ses lèvres délicieuses. Même si ce qui sort de celles-ci n'est que de l'hypocrisie doucereuse. Et qu'on le sait, oh oui, qu'on le sent.
    Oh ce n'est pas qu'il est hypocrite, c'est qu'il a beaucoup de tact. Ce n'est pas qu'il est méchant, c'est juste qu'il est un peu cruel, comme cet enfant qui écrase des fourmis et qui s'amuse de les voir mourir sans pouvoir rien faire. Ce n'est pas qu'il est froid c'est juste qu'il méprise tout ce qui vit. Ce n'est pas qu'il est égoïste, ni même égocentrique, oh loin de là, c'est juste que Peter s'aime, il s'aime plus que n'importe qui et s'il lui arrive, parfois, rarement, très rarement, d'apprécier quelqu'un, c'est uniquement parce que celui peut lui apporter quelque chose, quelque chose qui lui manque, et qu'il ne peut obtenir par lui même. Parce qu'en réalité, Peter est humain et il est vrai qu'il désire, or on ne désire que ce qui nous manque. L'on ne peut vraiment parler d'amour dans le cas des relations du jeune héritier, non ce n'est pas vraiment ça, l'amour est un sentiment bien trop noble, bien trop honnête, bien trop pur pour s'accorder avec un être aussi vil et bas que Peter. Ce sont toujours des liaisons compliquées où se combinent des batailles pour la domination de l'autre, pour ne jamais perdre la face et montrer ses faiblesses, pour dépendre ou rester indépendant, ce sont toujours des histoires sans queue ni tête où l'on finit blesser et fatigués, parce que cela se finit toujours. C'est cela qui est drôle. C'est cela que Peter aime. Voir les autres s'écorcher, lui résister, il aime ceux dont le regard hostile le brûle, ceux qui ne veulent se soumettre à lui, c'est ceux là qu'il aime pouvoir regarder de haut, après un moment d'égarement, où ils se réveillent au creux de son lit, oh oui c'est ceux là que Peter aime de tout son amour égoïste et intéressé.
    Les autres, ce ne sont que des riens, avec lesquels Peter joue, jusqu'à ce qu'il se lasse. Il a tous les pouvoirs et tout l'argent du monde, ou plutôt, cela fait parti de son plan.
    Il n'est pas si méchant que ça. S'il vous enfonce quand vous êtes au plus bas, c'est pour que votre haine vous aide à remonter. S'il vous prend de force, c'est pour vous apprendre à ne jamais faire confiance. S'il pointe là où ça fait si mal, c'est pour vous apprendre à ne jamais montrer vos faiblesses. Finalement tout ça n'est que la preuve de son amour !
    Ou pas.


    « You're so sad,
    So fucking mad,
    It's too bad,
    It's all you're good for. »



    The world's a ball of dust and i'm the one who's spinning ;


    Cela fait longtemps. Une éternité, j'ai l'impression. Une éternité, je crois. Une éternité que je méprise, que je regarde de haut. Une éternité que je suis supérieur à tous. Une éternité que je suis seul. Je n'ai besoin de personne.

    De personne.


    « Everywhere I turn every time I see their faces around. »



    La réalité n'existe pas. Jamais elle n'a existé et n'existera jamais. Chacun voit la vie comme il l'entend et joue avec comme il le sent. Certain décident de suivre le courant, comme des moutons, de suivre sans réfléchir, la tête baissée, sans jamais vivre, sans jamais réellement mourir. Puisqu'ils n'ont pas d'identité, ils renaissent constamment, un peu d'eux meure en chacun, un peu d'eux revit toujours en l'autre. Ils sont aimés de personne, ils sont aimés de tous, ils sont tristes, ils sont heureux, qu'importe ? Ils n'existent pas, pas dans mon monde, ce ne sont que des ombres, des ombres qui n'ont pas d'intérêt, si ce n'est matériel. Il y a ceux qui cherchent à dominer cette masse informe et innommable, qui y passent leur vie, à essayer de les regarder de haut, de les mépriser, il y a ceux qui les exploitent sans y réfléchir, puisqu'ils considèrent que cela leur ait dû, sans jamais se rendre compte qu'eux même ne sont qu'une ombre de plus sur cette terre, qu'un fantôme pourri qui détruit un peu plus ce monde, qui le mène à sa perte, cette perte inéluctable, cette perte qui les attend tous, alors que peu à peu leurs dos se courbent, peu à peu, le poids de la vie, peu à peu, la tristesse de perdre tout ce en quoi on a cru, peu à peu, la découverte de la réalité, de cette masse, de ce mal-être, et puis, mourir.
    Et moi ? Où je me situe, là dedans ?
    Suis-je l'un de ces moutons ? Ou l'un de ces bergers ?


    Je ne suis ni l'un ni l'autre. Oh, je vous vois sourire. Qu'il est prétentieux ! Qu'il est narcissique ! Lui, il se croit différent. C'est lui, le plus méprisant de tous. Je n'ai jamais dit le contraire. Je méprise, je piétine, bien plus que tous ces bergers, puisque je suis le plus lucide. Et je sais donc que vouloir guider ne sert à rien, que ce n'est qu'une perte de temps insignifiante. Je ne suis ni un berger, ni un mouton.
    Je suis un loup.
    Je suis un salaud.
    Je suis celui que vous suivrez, parce que vous n'avez personne d'autres à suivre, je suis celui qui viendra vous chercher quand vous êtes au plus bas, qui vous aidera à vous relever, de cette ruelle crasseuse où je paraitrais un ange éclatant de beauté et de pureté au milieu de ces seringues pourries, pour mieux vous faire redescendre. J'aime à voir les autres tomber, à mes pieds, j'aime la douleur que je peux lire dans leurs yeux alors qu'ils découvrent qu'ils ne sont, n'ont été et ne seront, que des jouets, à jamais et pour toujours, des jouets à ma merci.



    « I am dumb
    I am ugly
    I am numb
    I am twisted
    I am wicked
    I am hollow
    I'm a swine
    Nevermind. »


    Tout m'a toujours été cédé. Il y a longtemps, si longtemps que j'ai encore l'impression que c'était dans une autre vie, j'étais un enfant. Je ne vous sortirai pas toutes les merdes du genre « Ah, à l'époque, j'étais heureux et insouciant alors, je ne connaissais pas la vie », parce que ce n'est pas vrai. Je n'ai pas le souvenir d'avoir jamais été heureux, à cette époque. Comment aurais-je pu l'être ?



#


    • {SECOND ME *


(Une image 100*100)
    Nom :
    Prénom : Angel
    Surnoms : Ivory King.
    Statut : (La fiche listée est en construction)
    Classe Sociale : (Pauvre, moyenne, riche)
    Me & Myself :
    (Description générale du second personnage, physique et morale ; donnez également une petite histoire sur son passé / minimum 20 lignes pour le tout. ]



#

    * REALITY SHOW *
    Personnalités sur l’avatar : Kira d'Angel Sanctuary, normalement.
    Prénom : Ahem.
    Pseudos : Une petite fille ; Decline.
    Âge : Trop vieille T_T
    Sexe : Féminin.
    Comment trouvez-vous le contexte ? Miam <3
    Et le design ? *___*
    Où avez-vous connu le forum ? Hachiii chouuute *witi*
    Avez-vous reçu un colis ?
    Spoiler:
    Quel parfum ?
    Spoiler:
    RP ?
    Spoiler:
    Quelque chose à ajouter ? Désolée de la fiche trèèès en construction, je pars en vacances demain, désolée de la mise en page pourrie aussi, enfin bon, de plus je risque de tout changer à mon retour, mais c'était pour pouvoir faire lire une amie. -_-' Ah, et toutes les citations sont du dernier album de Saez, Yellow Trycicle.
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