| | | W.A.R ~ {Beware} |  |
| | | Auteur | Message |
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Invité
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| | Sujet: W.A.R ~ {Beware} Dim 6 Sep - 19:53 | |
| — Who Am I ;  — Name : À la base, c'était Waitress Atropos Richmund...
— Surname : Mais ça a bizarrement changé en Whatever, Atropos Rules donc W.A.R
— Age : Indéfinissable... la vingtaine peut-être ?
— Date of Birth : En 2111.
Questionnaire. _
- L'amour? « I'll kill it. »
- L'amitié? « It doesn't exist. »
- La confiance? « What is that ? »
- Le surnaturel? « I'm surnatural, the rest is bullshit. »
- L'actualité? « I'm actuality, I'm always on the news. »
- Les Oubliés? « If they bother me, I'll kill them. »
- La Gommose? « If they bother me, I'll kill them. »
- Chanson favorite? « I'll kill her. » (Soko)
- Personne admirée? « Me. »
- Mûgen Corporation? « I'll kill them. »
- La Politique du gouvernement? « I'll kill the government. »
- La théorie des deux mondes? « I'll kill the worlds. »
- Les médias? « I'll kill them. »
- Lieu favori ? « Bathing in your blood. »
— Living to Kill :
Enfin elle était achevée. Une des premières androïdes, presque juste une expérimentation. Mais tout de même un cadeau pour un gamin gâté. Qu'est-ce qui avait pris le célèbre médecin Murazaki Majinaï d'offrir un androïde à son fils... N'était-il pas déjà assez gâté comme ça ? Ça n'allait plus en finir... Bientôt on lui offrirait tout un harem... Et il n'avait que douze ans ! Quelle décadence...
***
« Joyeux anniversaire Noboru ! » s'exclama Murazaki. Le gamin, un petit binoclard qui semblait en vouloir à toute la terre sortit son petit pistolet à air comprime et visa chacune des douze bougies. Le père tiqua un peu, la mère eut un petit rire crispé.
« Noboru, j'ai un cadeau pour toi qui devrait te plaire... » tenta Murazaki. Le visage du garçon se leva, suspicieux.
« Une arme ? » demanda-t-il. Murazaki décida qu'il valait mieux tout simplement lui montrer.
« Waitress Atropos Richmund, veuillez entrer. » ordonna-t-il. La porte s'ouvrit et laissa passer une créature plus mignonne qu'aucune que la Terre n'ait porté. Une jeune fille au visage presque rond encadré par une chevelure rousse et lisse dont la frange retombait droitement sur le petit front. Les grands yeux bleus semblaient perpétuellement étonnés tandis que la toute petite ouche arborait une moue charmante. La jeune fille était habillée d'un costume de bonne très sage et une petite coiffe se tenait dans ses cheveux.
« Une bonne ? » voulut se plaindre le préado, avant de se rendre compte que ce n'était pas une bonne comme une autre : ses coudes, ses poignets, ses chevilles, et sans doute ses genoux, qui étaient dissimulés par la jupe, étaient semblables à des rouages. Trop semblables pour ne pas en être.
« Une androïde ? » s'émerveilla-t-il au lieu de se plaindre. « Génial ! » Il sauta de sa chaise et courut vers la machine, qui était plus grande que lui. Monsieur et Madame Majinaï échangèrent un sourire complice et ravi. Pour une fois qu'ils arrivaient à faire plaisir à leur chiant sévère gamin.
« C'est quoii ? » demanda le petit Shigeru, curieux, un doigt sur les lèvres. Sa mère le fit taire d'un regard, souriante.
« Tu peux changer ses paramètres en la branchant à ton ordinateur. Tu peux en faire ce que tu veux. » expliqua le père.
« Merci ! » s'écria le garçon en sortant de la salle, traînant la machine derrière lui.
***
« Reparamétrage terminé. » annonça la voix robotique d'Atropos. Noboru était ravi. Il l'avait faite rhabiller d'une robe légèrement plus décolletée et un peu transparente et avait paramétré la machine selon ses souhaits. Elle était parfaite.
À partir de son douzième anniversaire, il fut impossible de voir Noboru Majinaï sans son androïde, une des toutes premières créations, une création personnelle créée à grands frais pour lui.
Pourtant, il ne faut pas oublier que la vie n'épargne personne, ni les humains, ni les androïdes. Elle prouva à nouveau sa cruauté lors d'un terrible accident. Ce jour-là, Noboru se rendait à une soirée organisée par un cousin par alliance, évidemment accompagné par sa chère androïde, qu'il avait entretemps reprogrammée pour qu'elle lui soit extrêmement attachée. Elle portait ce soir-là une charmante robe blanche à volants et un semblant de corset en lin enserrait sa taille. Plus que sa bonne, elle était ce soir la partenaire de Noboru, qui en costard-cravate avait l'air extrêmement séduisant et manipulateur avec ses fines lunettes. Il avait bien changé depuis ses douze ans. Ces cinq années de vie avec presque uniquement Atropos comme interlocutrice l'avaient métamorphosé, et si depuis peu il commençait à sortir, c'est parce que l'androïde maintes fois reprogrammée avait subi une légère surchauffe et certains paramètres n'étaient pas exactement ceux qui étaient prévus. Ainsi, selon un paramètre inconnu elle lui avait proposé de sortir et de faire des connaissances. Il s'y était résolu, parce que c'était elle. Ils formaient à vrai dire un très beau couple, et si toutes les adolescentes étaient venues parce qu'elles pourraient enfin voir un des riches Majinaï et peut-être même entrer dans ses grâces, elles perdirent tout espoir à l'entrée de l'adolescent et de sa partenaire. Il était connu à tous que le Majinaï était tombé amoureux de son androïde, mais personne n'y avait vraiment cru jusque-là. À présent, il n'y avait plus le moindre doute. Pourtant certaines n'avaient pas abandonné. Ou plutôt le père de certaines. C'est ainsi que ce soir-là, quand Noboru et Atropos rentrèrent en voiture, leur limousine explosa. Comme toute androïde bien programmée, Atropos se sacrifia pour son maître, comme prévu par le commanditaire de l'explosion. Mais évidemment, tout ne se passe jamais comme prévu, et surtout pas la réaction d'un être humain, en particulier celle de Noboru.
Mémoire de l'androïde Waitress Atropos Richmund, 23 août 2116 en rentrant de la soirée.
Noboru qui lui tient la main. La voiture qui avance. Une explosion. Gros plan sur Noboru car elle s'est jetée sur lui pour le protéger.. Grésillements, les images deviennent corrompues, floues, puis, un instant on voit le visage de Noboru, qui sort d'un évanouissement passager. Le champ visuel change quelque peu, on suppose qu'il l'a poussée pour se dégager. Puis on revoit son visage, blessé, le rougeoiement d'un incendie. Le corps de l'androïde semblé traîné sur quelques pas avec difficulté, puis redressé avec soin.
« Atropos ? Atropos ? »
L'androïde ne répond pas, ses circuits sont fortement endommagés, seul l'enregistrement fonctionne encore.
« Atropos, nous nous vengerons. »
L'image est brouillée, quelques grésillements. Plus de son, plus que l'image, qui s'assombrit. Plus d'image.
***
Sain de corps et d'esprit à la naissance,
Le monde transforme en dingue avec aisance.
12 octobre 2120
Enfin elle était achevée. Il ne restait d'Atropos que la mémoire interne et la carrure originelle. Durant ces quatre années Noboru était resté cloîtré chez lui, dans un laboratoire, et lui, le geek, s'était consacré à l'étude de la technologie, épaulé par les plus célèbres savants, scientifiques et ingénieurs de son temps. Et à présent, elle était achevée. Et, différente.
Elle était plus moderne, semblait plus humaines. Par exemple, les articulations ne sont plus visibles. Elle a une apparence parfaitement humaine. Mais ce n'est pas tout. Elle n'a plus le même visage enfantin et rond, non. Son visage est un ovale qui devient anguleux au niveau du menton. Ses lèvres, plus pulpeuses, à peine peut-être, mais aussi plus carnassières, dissimulent des dents parfaitement rangées et blanches, trop acérées pour être humaines, sans doute. Son nez, aquilin et volontaire est surmonté par deux yeux noirs, qui possèdent toutes sortes de fonctions (visions infrarouge, ultraviolet, analyse de l'espèce en face). Sa chevelure noire, longue et luisante, dissimule un système de vision à 180°, totalement invisible si inconnu. Son corps est moins potelé, il est svelte, presque maigre, même si elle a gardé une poitrine bien présente. Ses jambes ont été travaillées à l'extrême pour lui offrir vitesse et équilibre dans n'importe quelle situation. Elle porte une combinaison de cuir moulante.
« Atropos, revis ! » s'écrie emphatiquement son maître. « Et venge-toi. »
L'androïde, rechargée à 100% a été conçue pour tuer. Elle se met en mouvement, après quatre années d'immobilité, enregistre immédiatement ce qui l'entoure.
« Tue, Atropos, tue ! » cri Noboru, presque hystérique.
Alors, un sourire étire les lèvres synthétiques du robot high-tech, et, levant lentement et calmement la mitraillette qu'elle a entre les mains, elle lâche une rafale contre le jeune homme, en annonçant : « À vos ordres, maître. »
 Ni Dieu, ni maître, ou tu perds ou tu gagnes.
***
Qu'est-ce qu'il s'était passé ? Oh si peu, juste un paramètre mal enregistré. Trop d'autonomie. Atropos voulait faire ce qu'elle voulait. Pardon. W.A.R voulait faire ce qu'elle voulait. Mais, pour commencer, ça tombait bien, ce qu'elle voulait correspondait avec ce que voulait Noboru : tuer le commanditaire de leur accident, un magnat du maïs qui servait de bio-carburant. Il fut éliminé rapidement. Et douloureusement. Par une rafale de mitraillette.
W.A.R ne se fit pas connaître tout de suite. Non, d'abord elle s'infiltra dans la société et observa. Car malgré son autonomie, elle avait un maître. Noboru ne le savait pas, mais un des ingénieurs qui avait travaillé avec lui était au service d'une mystérieuse personne. Qui elle était, ce qu'elle voulait, impossible à savoir. Atropos s'en fichait. Mais de temps en temps elle recevait l'ordre d'éliminer telle ou telle personne. Sinon, elle passait son temps à errer, observer et charger ses batteries au soleil.
***
Les rats ne vivent pas que dans les ordures, ils portent aussi des costumes blancs.
12 octobre 2163
Ordre de mission reçu par W.A.R. Expéditeur : le mystérieux commanditaire.
Objet joint : une carte bancaire avec son code secret.
Deviens l'ennemi public numéro 1. Arbore une apparence excentrique et effrayante. Tue tout autant que tu veux. Ne touche pas au dernier Majinaï. Ne maltraite pas les autres androïdes. Trouve-toi un ingénieur qui te rendra plus performante et te réparera au besoin. Prends sa famille ou ce qui lui est cher en otage. Baigne-toi dans le sang des gens.
C'était tout ce qu'attendait la cruelle W.A.R. Sitôt qu'elle reçut ce message elle s'empressa de se déshabiller, ne portant que des lambeaux et des bandages : sa poitrine (peu) recouverte par des bandages, à sa taille, ou même plutôt ses hanches, un filin retenant des lambeaux qui ne cachent pas grand-chose. Une énorme ceinture pend à ses hanches, qui lui sert à ranger ses cartouches. Elle porte sa mitraillette en bandoulière. C'est sa mitraillette. Tu la touches, tu crèves, si t'es pas déjà mort. Et pour compléter l'équipement, un crâne de cerf est posé sur sa tête. Ses cheveux, devenus à moitié des dreadlocks s'emmêleront petit à petit autour des cornes du crâne, et la mâchoire du l'ossement cache les yeux de l'androïde. Peu de personnes peuvent se vanter d'avoir pu regarder W.A.R les yeux dans les yeux. Ou alors ils sont morts.
La seconde chose que fit W.A.R fut de rechercher un des ingénieurs les plus acclamés et performants actuellement. Pendant quelques mois les journaux, les médias et la police furent à sa recherche, puis ça se tassa. W.A.R avait en son pouvoir un ingénieur doué, et en otage son protégé. Intelligente, elle avait posé une bombe sur l'ingénieur et le jeune homme. Si l'un tentait de s'enfuir, tous deux explosaient. De même s'ils cherchaient à correspondre avec l'extérieur. Ils étaient installés dans une base sous-marine dans le Pacifique a une petite centaine de kilomètres du Japon. W.A.R pouvait y accéder soit en nageant, ou dans le cas où elle serait abîmée, avec une voiture hybride habilement dissimulée.
Et enfin, elle commença sa carrière d'ennemi public numéro 1. Elle s'y prit lentement, sans devenir trop célèbre d'un jour à l'autre. Elle était plutôt une adepte du crescendo, commençant par le plus bas de l'échelle sociale. Et elle commença par un meurtre tous les mois. Ce n'est qu'en 2176 qu'elle commença à s'attaquer à de plus gros poissons, et aujourd'hui elle est extrêmement recherchée. Mais personne n'a jamais pu l'attraper, pas même Yutsuki Majinaï. |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: W.A.R ~ {Beware} Dim 6 Sep - 19:54 | |
| #  — Surname : W.A.R
— Class-conscious : SDF (pauvre)
— Me & Myself :
À force de claquer on a la peau dure.
W.A.R est assez peu différente dans le monde des rêves qu'en vrai. Seulement, comme elle est humaine, elle sera plus expressive et provocante. De même, elle est ici une shootée de première. Elle fume des joints à longueur de journée, est une adepte des sensations les plus spéciales, des expériences les plus dangereuses. Sa mitraillette est son seul amour, et quiconque la touche a aussi signé son arrêt de mort. Elle se comporte en ado paumée même si elle a l'impression d'être très vieille, sans doute grâce à sa longue vie d'androïde sur l'autre monde. Comme elle passe la plupart de son temps à être shootée, il lui arrive d'avoir des réminiscences du monde réel, et de visages. L'inverse n'est en revanche pas vrai. Par ailleurs, elle a beau être toujours shootée, elle est tout à fait lucide la plupart du temps. Si vous l'abordez, elle feindra d'être totalement à la masse. Elle adore surprendre les gens. Elle adore tuer les gens. C'est sans doute pour cela qu'elle s'entend si bien avec Isklive, l'ennemi public numéro 1 de ce monde, et qu'elle lui donne parfois un coup de main. De même, Carmine est de ses connaissances, et même des plus proches. Et surtout, n'oublions pas un des points les plus importants de l'impudique demoiselle : elle veut devenir maîtresse du monde. Sa mégalomanie se traduit par le meurtre des personnes qui lui ont l'air de vouloir gouverner les gens. Ou même plus exactement de toutes les personnes qui lui semblent un peu trop puissantes. Si tu lui donnes un ordre, tu crèves. Si tu lui obéis pas, tu crèves. Si tu lui obéis trop lâchement, tu crèves. Si tu la dragues et qu'elle est pas d'humeur, tu crèves. Si tu la dragues et qu'elle est d'humeur, t'as intérêt à être à la hauteur de ses espérances ou tu crèves. Si elle a pas l'impression que tu l'admires ou même la vénères, tu crèves. Si t'as de la drogue et que tu lui en passes pas, tu crèves. Si elle te propose de la drogue et que tu l'acceptes pas, tu crèves. Si elle te drague et que tu la repousses, tu crèves. Si tu réponds pas à une de ses questions, tu crèves. Si tu l'intéresses, même si un des précédents est réalisé, il peut arriver que tu crèves. Si t'as rien fait des termes ci-dessus mais que tu lui déplais, tu crèves.
Une dernière petite précision : elle a l'air très calme. Tout le temps. Et tue sans préavis... <3
« Clone-moi un mouton » dit aujourd'hui le Petit Prince. # • { — REALITY SHOW *
— Personnalité sur l’avatar : War de Schwarzer-Todt.
— Pseudo(s) : Eris
— Âge : 16 ans
— Sexe : F
— Où avez-vous connu le forum ? Double compte ~
— Avez-vous reçu un colis ? - Spoiler:
Remember hte sweet memories
— Quel parfum ? - Spoiler:
Sucré léger
— Quelque chose à ajouter ? Désolée pour le retard.. PS : Si un admin passe par à, est-ce qu'il peut supprimer le [D.E.A.D] de mon pseudo ? Merci <3 |
| | | | Samaël Esaias [Seth]
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![Samaël Esaias [Seth]](https://2img.net/r/ihimizer/img193/8383/samfallingdown.jpg)
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| | Sujet: Re: W.A.R ~ {Beware} Lun 7 Sep - 7:36 | |
| Moi je trouve ça bizarre qu'un aussi vieux modèle, qui a subit une explosion, puisse être aussi performant. Même si on l'a réparé, etc etc..., elle doit avoir de sérieux problèmes internes je pense.
Mais bon, c'est que mon avis. J'ai bien aimé l'histoire. WAR me fait peur <___<
Sur ce, je valide. | |
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| | Sujet: Re: W.A.R ~ {Beware} | |
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| | | | | | W.A.R ~ {Beware} | |
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