Syre Owen [U.C]

Invité

— Who Am I ;

• { — FIRST ME *

— Name : Owen.
— First Name : Syre.
— Surname : Le prénom est déjà assez court non ?
— Age : 33 ans et toutes ses dents…
— Date of Birth : 9 Mai 2147.
— Groupe : Classical people.
— Statut : Syre travaille plus ou moins. Moins quand il se prend des vacances. Plus quand il trouve un boulot dans ses cordes. Lesquelles ? Chantage, escroqueries, faux monnayage et recel de bien volé.
— Classe Sociale : Moyenne ? Plutôt aisée sans pour autant être riche non plus. Il suffit de piocher dans mes économies non ? Houa j’ai plus un rond !

Questionnaire.

L'amour ? C’est-ce qui fait qu’on est tout bizarre à l’intérieure non ?
L'amitié ? Ha ouais…ça me dit quelque chose ça…attendez je vais m’en rappelez !
La confiance ? La confiance est une quantité négligeable.
Le surnaturel ? J’aime les mystères de toute sorte.
L'actualité ? J’adore les rubriques people et vous ? Le reste ne m’intéresse pas trop.
Les Oubliés ? Une bande de gamin rebelle, pas de quoi en faire un drame.
La Gommose ? C’est pas c’est mec qui sont obnubilés par la verdure ?
Chanson favorite ? Victime de ma victoire. Mozart Opéra Rock.
Personne admirée ? Moi quelle question !
Mûgen Corporation ? Ho ! Des tas de bidules qui clignotent et qui font bip-bip !
La Politique du gouvernement ? J’aime bien les débats politiques, y sont jamais d’accord ces gars ! C’est trop drôle de les voir se taper dessus.
La théorie des deux mondes ? Théorie passionnante mais basé sur aucun fondement précis.
Les médias ? Facilement manipulables.
Lieu favori ? Mon bureau, au moins là je suis à l’abri.

— Familial Statut : Il était une fois une famille de quatre personnes :
[list]Le père : Edward Owen, un homme aimable et sincère, mais d’une santé extrêmement fragile. Il passait son temps entre l’hôpital et son travail, professeur de lettre à l‘academie. Autrement dit il ne ramenait pas beaucoup de billet dans la cagnotte ! Il se sentait inutile et souffrait beaucoup du manque de compréhension de son épouse.
La mère : Iris Owen, née dans un famille de six enfants elle était la plus petite et à toujours eut une attention particulière de la part de toute sa famille. Tombée amoureuse de son prof de lettre elle se maria avec lui sans vraiment avoir bien réfléchit à la question. Elle ne supporte pas de ne pas être le centre d’attention.
La grand-mère maternelle : Lydi. Elle fait figure de bonne a tout faire et d’infirmière, tantôt pour son fils tantôt pour sa belle fille.
Et enfin Syre ! Bon aujourd’hui c’est un grand garçon qui est capable de s’occuper de lui. Il ne va jamais voir ses parents depuis la mort de sa grand-mère. Bien sur il pense a les appeler deux voir trois fois par mois, pour les anniversaires et les fêtes, mais pas plus. En somme on en peut pas vraiment dire que Syre est proche de sa famille comme il devrait l’être, ce n’est pas pour autant qu’il les déteste…c’est juste qu’il ne les aime pas. Et puis il ne tient pas vraiment a voir leurs regards de parents tristes d’avoir un gosse aussi impliqué dans les affaires louches.

— Likes/Dislikes : Ho ! Grande question ! Il y a tant de chose sur cette vaste Terre que l’on pourrait aimer ou au contraire détester….
Les histoires d’horreurs sont sa grande passion, il adore transformer un simple conte pour enfant (du genre la belle au bois dormant) en un horrible remake bien sanglant et tragique, il a horreur quand une histoire se termine par «　ils vécurent heureux et eurent beaucoup d’enfant　», ça l’insupporte de savoir que cette cruche de cendrillon va couler des jours heureux alors qu’elle en a pas foutu une cette feignasse ! Autre chose ? Oui peut être. Il aime les mets extrêmement acides, pommes vertes, fruits pas encore murs, poisson noyé sous le jus de citron, c‘est a se demander de quoi est fait sa paroi intestinale. Il a horreur de tout ce qui est sucré les bonbons, les gâteaux et autres friandises passent illico à la trappe sans espoir de retour.

— Physical Apparence : Madame Owen : Il est si mimi notre petit Syre ! Une vraie poupée...bon c'est vrai une poupée étrange, mais une poupée quand même. Les poupées c'est mignon, ça fait plaisir quand on en reçoit une et on peut les habiller comme on veut.

Essaye pour voir...Pourtant, c'est vrai que si on regarde Syre on se retrouve face à un homme de taille plutôt moyenne, entre les 1m64 à vue d'œil et tout en longueur, il ne pèse que 49 kilos. C'est vrai qu'il a une bonne tête, un visage fin et ovale, une peau laiteuse et douce, le seul hic qui pourrait trahir sa folie est ce sourire inquiétant qui ne part jamais de ses lèvres, juste au-dessus deux yeux bleus clairs, toujours cachés par sa frange, qui peuvent vous scruter avec la plus totale indifférence ou au contraire s'illuminaient comme deux brasiers si vous êtes sa prochaine proie, le tout emballé par une longue tignasse blanchâtre retombant dans son dos jusqu’à sa taille et qui malgré des efforts titanesques semble vouloir rester en bataille. Tout le reste de son corps est une parfaite prolongation.

Mais il faut tout de même se méfier des apparences, loin d'être tout en muscle il n'en sait pas moins se battre avec efficacité. Son manque de force est vite oublié par sa rapidité et son agilité et il sait y prendre pour donner du fil a retordre à ses adversaires, autant en se montrant déloyal quand se battant à la régulière.
Tous les gestes de ce jeune homme semblent empreint d'une fausse lenteur sans que l'on puisse vraiment deviner s'il le fait exprès ou pas. C'est calculé ne vous en faites pas. Syre-chou vous réserve des surprises si vous passez à porter de main et que votre adorable tête ne lui revient pas.
Sa garde robe est composée de vêtement divers et varié, pas d’une grande élégance il faut bien le dire. Le tout caché sous une sorte de manteau sombre. Il ne sort jamais sans son drôle de chapeau haut de forme un peu biscornu sur le haut. Bien qu’il ne prenne pas grand soin de sa personne il fait très attention à son précieux vernis noir dont il se badigeonne souvent les ongles.

— Read My Mind : Décrire un caractère est presque impossible, cela dépend surtout des gens à qui nous parlons, certains dirons en parlant de vous : casse-pied, insolent, malpoli. D’autres vous qualifieront d’aimable, gentil, attachante et serviable. On ne peut jamais être tout à fait sur. C’est le même cas pour Syre. Mais si il y a bien une chose sur laquelle les gens sont d’accord c’est celle-ci : c’est un vrai crétin.

Mais pour décrire un personnage comme lui il faudrait prendre des adjectifs et le décrire un par un (Mais on vas pas y passer la journée non plus !). Syre n’est pas quelqu’un de froid, ni de bien mystérieux, ni quelqu’un de compliqué. Il n’a pas d’histoire tragique sur sa famille à raconter aux passants et il n’a aucune blessure au fond de son cœur. Mais si il ne possède aucun mystère dans sa vie il n’en ait pas moins que ce drôle d’individu reste inquiétant.

Un individu normal pourrait il passer avec autant de facilité d’un naturel calme et timide à celui d’un psychopathe riant et sortant des ânerie plus vite que son ombre ? Certainement pas.
Les piques et les injures à demie cachée (voir pas du tout même) son ses hobbies. Se moquer des autres sa passion et jouer avec leurs nerfs son addiction suprême. Il n’est pas utile de préciser qu’il se moque de tout le monde sans distinction aucune, les grands ce monde comme les simples pauvres ou bien lui même, il adore ça. Etre malpoli est l’un de ses petit plaisir, mais il ne tombe pas dans le grossier pour autant. Bien au contraire, il possède un langage assez châtié, un reste de bonne éducation ?

Jamais de stress, ou alors un peu, c’est bon pour le cœur. Le sien ne risque pas la crise cardiaque. Un calme olympien alterne avec des crises de delirium aigues. Dans ces périodes relativement normales il ne bougerait pas le petit doigt même si le type devant venait à exploser en mille morceaux. Tout juste si il hausserait un sourcil du genre «Ho zut alors…c’est quoi le numéro des pompiers déjà ?»
Se servir des autres et les jeter c’est la seule règle que son paternel ait jamais réussi a faire rentrer dans la caboche de son sale gosse. C’est que malgré toutes les imbécilité qu’il peut sortir les deux neurones connectés dans son cerveau marchent toujours à plein régime et ils s’ont parfaitement capable de le sortir des situations dans lequel il se trouve. Il est aussi très attiré par l’argent, son apparence négligé n’est qu’une conséquence de son avarice, il a beaucoup de mal à lâché une simple pièce alors dépensé des sommes folles dans des vêtements et autres gadget il ne faut pas y compter ! Ill adore les sous ! Les siens et celui des autres bien sur, c’est notamment pour cette raison qu’il pratique le chantage à grande échelle. Vous le verrez peut être un jour en train d’arpenter les rues, la tête baissée et puis soudain il se jettera a plat ventre par terre pour ramasser une pièce qu’un passant négligent aurait laissé tomber.

Malgré toutes ces délicieuses qualités il n’a qu’une seule parole et il respecte ses promesses, mais il ne faut pas le prendre pour une bonne poire non plus. Il adore jouer avec sa vie et celle des autres en général. Ha coté cœur ? On ne lui connait pas de relations à long terme, mais il faut bien dire qu’il est un peu pervers sur les bords et qu’il n’hésite pas à espionner ces demoiselles dans la stricte intimité de leur salle de bain. Ha on ne s’ennui jamais avec ce garçon là !

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• { — SECOND ME *

Surname :

Class-conscious :

Me & Myself :

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[list]• { — REALITY SHOW *

— Personnalité sur l’avatar : Undertacker de Kuroshitsuji
— Pseudo(s) : Baronne.
— Âge : 19 ans.
— Sexe : Féminin…je crois…
— Où avez-vous connu le forum ? En faisant du cliquage intempestif.
— Avez-vous reçu un colis ?

Spoiler:

— Quel parfum ?

Spoiler:

Invité

— Dear Diary :

Il était né comme un enfant désiré depuis un nombre incalculable d’année. Fils d’un couple très amoureux dont le seul ennui mineur était de ne pas avoir d’héritier pour assurer la suite de la famille . Chose faite maintenant que la toute jeune mère tenait la petite chose qui ne cessait de bouger dans tout les sens en braillant. Il y a mieux pour se présenter à quelqu’un certes, mais quand on à peine deux minutes on s’en fiche des convenances. Ce qui nous intéresses c’est qu’on nous fourre dans un endroit chaud, pas qu’on nous trimballe partout en entendant les membres de la famille Owen au grand complet s’extasiaient sur toi. Bref.

Les premières années de sa vie Syre ne s’en souviens même plus, comme quoi ça devait pas être terrible. Bon il a bien vu des photos et des vidéos d’amateurs désabusés, mais sans vraiment y faire attention. Ses vrais souvenirs remonte vers ses 5 ans. Quand il menait la vie dure à ses apprentis parents qui ne savaient plus ou se donner de la tête avec cet enfant bien turbulent. Pour palier à leur manque de connaissance en la matière ils avaient recruté en catastrophe la grand-mère maternelle qui veillait à ce que cet l’héritier baveux ne fasse pas trop de bêtise, mais là encore l’horrible gosse savait se montrer un véritable tyran en culotte courte, combien de mauvais tours lui joua-t-il à cette pauvre fée du logis ? Mais il était si mignon avec sa bouille d’ange aux grands yeux bleus qu’on lui pardonnait tout.
Mignon, issu d’un milieu passablement aisé et suffisamment intelligent pour comprendre ce qu’il l’entourait.

Il passait son temps le nez plongé dans des livres de conte de fée, se fichant pas mal des devoirs qui s‘accumulaient sur le bureau en bois, et quand il n‘était pas chez lui on pouvait le trouver en train d‘errer dans l‘hôpital, assis dans la chambre de son paternel. La plupart du temps celui-ci était beaucoup trop drogué pour réussir l‘exploit d‘avoir une conversation qui tienne encore la route après dix minutes. Mais Syre s‘en accommodait très bien. C‘était ça ou bien supportait les regards glacial que lui lançait sa mère. C‘était une femme assez timide, mais qui adorait accaparer l‘attention et l‘amour des personnes présentes. Un peu comme un drogué aurait besoin de sa dose d‘héroïne, elle avait besoin que les autres l‘entoure et la couvre de compliments et d‘amour. Ils étaient sans cesse en affrontement des coups bas et des piques blessantes la plupart du temps, ils n‘allaient jamais jusqu’à ce taper dessus en hurlant. C‘était une luette silencieuse dont l‘enjeu était le contrôle absolu sur les gens de la maison.
Syre adorait ce jeu, il fallait être rusé, savoir quand agir, être le plus discret possible. Et ça m‘était un peu d‘animation dans la maison !
Il c’était lié d’amitié avec une bande de gamins des rues, un brin espiègle et futé, mais surtout très sale. Il partait souvent avec toute la bande pour faire des coups tordus, sabotage, chapardage, ils rendaient service à ceux qui ne voulaient pas se salir les mains, en échange de quoi ils étaient presque toujours payé. Un bon moyen de gagner un peu de fric sans pour autant travailler comme un forçat ! Et dieu sait ce que Syre pouvait faire contre un peu de monnaie…

Sauf que…parfois la vie peut se révéler très injuste et surtout quand on s’y attend pas. Il avait tout juste 20 ans.
Le coup promettait d’être superbe ! Un bel entrepôt, des tas de carton bourré de choses bien utiles et surtout pas trop dur à revendre. Un vrai jackpot ! On l’avait confiné dans la surveillance. Lui se gelait dehors pendant que ses potes avaient bien chaud…sympa les mecs ! Vivement le jour où il deviendrait le véritable chef !
Il restait donc là à se peler littéralement quand il entendit un grand chambard dans l’entrepôt. Des cris, des injures, des mecs qui courent dans tout les sens. Une odeur de danger flottait dans l’air, c’était pas le moment de trainer dans les parages. Cependant un soupçon de curiosité lui conseilla d’aller voir de plus près. Bon okay, pas de problème. Ouvrant la porte le plus discrètement possible il fut soudain prit par un flot de gamin hurlants et se piétinant les uns, les autres. Syre fut catapulter un peu plus loin au sol. A peine remit de ses émotions qu’il se sentit soulever par deux mains puissantes. Il se retrouva face à un visage rouge de colère qui lui postillonnait des injures bien sentit sur lui, ses parents, ses amis. Amis qui, soit dit en passant, c’était tout bonnement enfuit le laissant tout seul, au prise avec ce fou furieux.

Ce fut la seule fois de sa vie où il eut vraiment peur pour sa vie. Une longue nuit dans une cellule froide et inhospitalière, des cauchemars qui le réveillaient sans cesse et cette boule au fond du ventre qui l’empêchait d’avaler quoi que ce soit. Bien sur il ne fit pas son fanfaron devant ses parents, venus le chercher le lendemain, son père était encore plus pale et plus faible que d’habitude. Sa grand-mère pleurait et sa mère…sa mère souriait en coin. Elle avait remporter leur jeu, plus personne dans la famille ne pourrait lui donner autant d’affection maintenant. Le retour a la maison se fit sans la moindre question, à croire que tout le monde voulait oublier cette épreuve. On ne le gronda pas, on le lui adressa pas la parole, on le laissa seul dans son coin. Alors que voulez vous qu’il fasse ? Il se plongea corps et âme dans les études, oubliant tout, ne pensant même plus à sa vie sociale.
Mais quelque chose le titillais au plus profond de lui, cette boule dans le ventre…ce sentiment de trahison de la part de ses potes. Il ne leur avait pas pardonné de l’avoir laissé tout seul…confiance ? Amitié ? Rien de tout cela n’était vraie !

Les années continuèrent d’avancer lentement, Syre devint un jeune homme froid et distant, qui ne se fiait plus a grand-chose sinon à l’argent. L’argent pouvait ouvrir toutes les portes et il permettait de s’entourer de connaissances loyales. Il lui en fallait toujours plus, mais il se refusait a travailler, il avait d’ailleurs banni ce mot de son vocabulaire. Habile et menteur comme pas deux il avait sur tirer profit de ce talent particulier qu’était la curiosité. Il se baladait, ouvrait grands ses oreilles et écoutait tout ce qui se racontait, dans les bars, les boutiques, les clubs en tout genre. Il était discret et incroyablement efficace pour ce genre de boulot.
A écouter aux portes on apprend parfois des secrets qu’on aurait jamais dut entendre…et Syre savait de quelle façon s’y prendre pour en tirer un profit…le chantage était devenu sa grande spécialité. C’était simple, rapide et peu dangereux puisque les victimes ne portaient généralement pas plainte auprès des flics.

L’escalade dans la criminalité se fit assez rapidement, entre deux chantage il se mit a combiner des escroqueries en tout genres, les gens étaient si stupides ! Pourquoi se laissaient ils prendre à ce genre d’idioties ? Là encore c’était peu risqué. Et puis finalement il se mit à bosser avec des bandes différentes, comme un ami auquel on rend service il gardait les biens honnêtement volé par ses comparses, contre rétribution bien sur !
A cette époque il avait tout juste 30 ans. Et il c‘était déjà forgé une réputation dans le milieu criminel : "Vous avez besoin de liquide ? Allez voir Syre ! Vous voulez un endroit sur pour planquer votre butin ? Allez voir Syre !" Une vraie campagne de pub ! Ho bien sur il avait eut à faire à la police et pas qu‘une fois…quand des débiles profonds le balançaient histoire d‘avoir une remise de peine…D‘une part quand la police débarquait il ne trouvait rien et d‘autre part…la balance ne faisait pas vraiment long feu. Comme dit plus haut l‘argent lui ouvrait toutes les portes même celle des prisons.

Récemment il se tient un peu tranquille, les affaires marchent toutes seules, il prend du bon temps, tout en surveillant un peu de temps en temps. Qui plus est il a ouvert un nouveau service, celui de tueur a gage ! «Vous avez un ennemi à faire disparaitre, mais vous ne voulez pas vous salir les mains ? Pas de problème ! appelez Syre ! Contre rétribution il vous en débarrasse !» 33 ans et toujours en pleine expansion, c‘est une sorte de business man ! Et que lui réserve donc l‘avenir ?

Eh bien, eh bien..
Tout cela me semble parfait (j'adore le personnage) et malgré quelques petites fautes, je suis honorée de te souhaiter la bienvenue! Bon jeu <3!
Classical People.