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 June (the fake one) FUCKS your mother.

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2 participants
AuteurMessage
June
after the afternoon

after the afternoon
June


Nombre de messages : 5
Date d'inscription : 21/12/2009
Age : 29
Localisation : OSEF.
Emploi/loisirs : J'achète des croissants chauds.
Humeur : ... Tu veux que je t'arrache la peau ?

Floating Card
Nickname: June 83
Profession/Occupation: Dompteur. Rrraw.

June (the fake one) FUCKS your mother. Empty
MessageSujet: June (the fake one) FUCKS your mother.   June (the fake one) FUCKS your mother. EmptyLun 21 Déc - 19:36

    A FUCKIN' ROBOT ;


      • { — A SLAVE (BUT HE ISN'T RUSSIAN) *


    June (the fake one) FUCKS your mother. Mex1


      Name : June,
      Surname : … qu'est-ce que vous croyez ? Dog ? Fermez-la,
      Age : bah euh il a l'air d'un lycéen qui a redoublé, paumé et tout, donc on va dire 20 même si de langage il fait moins (ou parfois plus.)
      Date of Birth : Créé en 2176.




    Questionnaire. _



    • L'amour? « MDR c'est ça ouais. »
    • L'amitié? « Tu parles. »
    • La confiance? « J'en ai pas assez ptet ? Ah, si j'en donne assez ? Va t'faire voir. »
    • Le surnaturel? « Je kiffe les lycanthropes. »
    • L'actualité? « On s'en fout. Quand je vois le président à la téloche, je l'imagine avec sa femme le 14 février. S'troooop tripant. »
    • Les Oubliés? « Borf. J'suis sûr qu'il y a pas d'humanoïdes parmi eux. »
    • La Gommose? « Y en a pas chez eux non plus. »
    • Chanson favorite? « … Radiohead. C'est un groupe. »
    • Personne admirée? « Je dois avouer que je voue un profond respect à ma maîtresse. »
    • Mûgen Corporation? « Des nazes. »
    • La Politique du gouvernement? « Naze. »
    • La théorie des deux mondes? « Ca m'parait bien bwahaha trop ça. »
    • Les médias? « Je vous le dis, je trippe sur les politiques sans costard-cravate. »
    • Lieu favori ? « La croissanterie là, j'vous jure, là j'l'ai pas sur mon dos, littéralement. »



    Dear Diary :

    Exténué, le pauvre Dani n'en pouvait plus de dessiner, dessiner, dessiner, modèles, visages, détails et anatomies. Travailler pour Mûgen n'était pas simple. Il éteignit les lumières de son bureau et traîna des pieds jusqu'à la salle de bains en mettant sa robe de chambre. Le téléphone sonna.
    « Suromo à l'appareil. »
    « Daaaani ! »
    Dani déglutit. Ce vieux fou ne l'avait-il pas oublié ? »
    « Tenshi-sama, bonsoir. Que me vaut votre appel si tard dans la nuit ? Il y a longtemps que... »
    « Dani, tu n'as pas changé. J'ai quitté Mûgen il y a dix ans et je t'ai laissé seul, mon kôsai, seul, désarmé.
    « Oui monsieur. Mais vous n'avez pas quitté Mûgen Corporation, vous avez été licencié. »
    « Oui, oui, Dani, dit-il d'un ton las et désinvolte. Mais puis-je te demander quelque chose ? »
    « Dites toujours, j'y réfléchirai, répondit-il en hésitant. »
    « Je voudrais que tu dessines pour moi le modèle de deux humanoïdes. »
    « Ah. »
    « Oui, cela peut te paraître bizarre car je suis actuellement horloger mais je ne voudrais que le design des deux... »
    « … Je le ferai. Je vous respectais, même si vous passiez pour un fou. On pouvait même dire que j'étais fier et heureux d'appartenir à l'équipe dirigée par Tenshi-sama, vous aviez une renommée loufoque à l'entreprise. »
    « Fou, haha? Mais que... »
    « Mais puis-je au moins savoir pourquoi je dois faire votre commission ? »
    « Eh bien, humm... êtes-vous au courant de l'accident mortel des enfants du ministre Chizu Tenshi ? »
    « Oui, je me souviens, ça avait été un drame, encore maintenant ils en parlent dans les journaux. Je suis désolé pour votre neveu sa fiancée. »
    « C'est pour mon frère qu'il faut être désolé. En fait, Chizu se porte à peu près bien, parfaitement même à côté de sa femme, Arisa. Elle a perdu la tête. A l'annonce de la mort de son fils, elle s'est crevée les yeux et a sombré dans un état pitoyable. Elle croit qu'elle revit le jour où son fils lui a présenté sa copine tous les jours de sa vie. En fait, elle est devenue folle et elle a oublié l'accident hum, mais... »
    « Oui j'ai compris, elle est dans une folie inextricable. »
    « Je veux faire quelque-chose pour cette pauvre belle-soeur. Et j'ai une soudaine envie de voir si mes doigts d'elfes peuvent encore fabriquer des circuits électroniques pour robots. »
    « Hum... très bien. Quelle style voulez-vous ? »
    « Bien bien. Donc un mâle et une femelle. La fille mignonne et angélique, j'ai envie de voir si vous avez progressé dans le dessin des femmes, vous savez, je suis encore comme un professeur pour vous. Mais je sais déjà que vous étiez très doué pour les hommes alors faites comme vous voulez pour l'autre. »
    « M... oui ça ira. Dites-moi, c'est pour consoler et soutenir votre frère et c'est aussi en grande partie pour votre lubie personnelle, non ? »
    « Haha ! Les vieux fous ont besoin de s'amuser avant la mort. J'en suis proche. Mon frangin compte beaucoup pour moi. Brillant, hum, il est devenu ministre. J'aurais pû, moi aussi. Mais j'étais passionné de robots. J'étais doué. J'étais un génie. »
    « Oui, les génies sont excentriques et s'amusent à fabriquer des psychopathes de robots pour finalement être renvoyé par leur employeur... »
    « Exactement. »
    « Vous êtes fou. »
    « Non. Pas fou. Génie. »

    ♠ ♠ ♠

    Tenshi trottina en boitant jusqu'à la porte et sortit de la salle pour la fermer à clé. Il se mit alors derrière la vitre qui séparait les deux pièces et appuya sur quelques boutons. Puis attendit.
    Dans la salle fermée se tenaient deux lits d'hôpital. Aucun drap, couverture, ou autre.
    D'abord se leva la jeune fille du lit gauche. Elle avait un regard étrangement triste et … poétique. Ses cheveux blonds bouclés étaient bien coiffés et laissaient voir son petit visage pâle. Ses yeux bleu foncé fixaient un point invisible. Ses bras fins et laiteux bougèrent et elle observa ses doigts. Puis elle tourna la tête vers sa gauche et ordonna d'une voix basse, fluette et cristalline:

    « Lève-toi. Ne fais plus semblant. »
    « Ohé ça va. »

    Le garçon alors exécuta l'ordre. Il était exactement le contraire de la fille. Ses yeux noirs, dilatés, exaltaient de vie et de désir. Ses cheveux noir de jais ébouriffés et mal coupés se hérissaient et chatouillaient ses épaules. A part sa peau. Aussi claire que celle de sa jumelle. Il sauta du lit, regarda sa compagne et lui sourit étrangement. Un sourire comme ce regard bleu, sans aucune émotion humaine
    Tenshi, furieux, voulut les arrêter et recommencer la fabrication des deux humanoïdes. Ils étaient ratés. Ils ne faisaient pas vrais.
    Et puis leur caractère avait un problème. Il avait créé un couple, non ? Un couple jeune, ardent de désir. Et tout ce qu'ils faisaient, c'était fixer bêtement l'autre.
    Il appuya alors sur d'autres boutons et les machines s'écroulèrent.

    ♠ ♠ ♠

    Un génie pouvait se tromper une fois mais pas deux. Il n'arrivait pas à corriger le regard de la fille mais avait bien arrangé le sourire de l'autre.
    La rencontre se passait bien.
    Arisa Tenshi pleurait.
    Elle demandait si c'était bien son fils, tellement elle était heureuse d'en apercevoir un avatar. L'humanoïde prit donc le nom de Horo pour substituer le défunt. C'était un prénom bizarre. Il seyait mieux à un robot qu'à un humain.
    Il maudissait son créateur. Celui-ci ne s'était même pas donné la peine d'inculquer le caractère du vrai Horo au robot. Apparemment, le fils était quelqu'un de calme, distingué et particulièrement snob. A quoi servait cette comédie ? Dans son circuit, le robot avait été créé grossier et excentrique. Pas du tout le genre de ce fils de ministre.
    Ne parlons pas de la fiancée. Elle aussi était censée être bavarde et frivole. L'humanoïde blonde était une mutique doublée d'une curieuse infinie.
    La paire arrangeait bien la situation. Mais ça semblait fort amuser leur père. Lui s'était donné la peine de rendre leurs voix pareilles, rien de plus.
    La pauvre folle ne s'apercevait de rien. Elle était juste heureuse d'avoir son fils à côté d'elle.

    ♠ ♠ ♠

    Les deux robots avaient instauré un code secret. Il était simple. A chaque fois que Horo commençait une phrase bourrée d'interjections vulgaires, Risu (le nom donné à sa partenaire) lui écrasait le pied à défaut de lui envoyer un signal sans fil. Et cela avait souvent eu lieu.
    Le créateur et ses deux robots s'aperçurent que la peau des deux protagonistes avait un problème. Chez Risu, le contact d'un liquide la rendait bizarre (trop pour que j'en décrive les effets.) Chez Horo, les rayons solaires la fonçait trop. Comme s'il bronzait. Mais les effets étaient beaucoup plus rapides et indélébiles. Il trouvait ça drôle et s'en réjouissait. Les deux autres non.
    Un jour, on prétexta une balade en forêt pour sortir la petite famille. L'« oncle », la « mère » et les « enfants » sortirent donc. En réalité, ils n'allèrent qu'au petit laboratoire personnel de l' « oncle » pour ainsi changer la peau des « enfants ». Et tandis qu'on laissa la « mère » dehors, sur un banc, avec un autre humanoïde pour discuter, Tenshi retrouva Dani qu'il tapota sur l'épaule. Celui-ci fut assez surpris de voir les robots qu'il avait dessinés, surtout l'un avec une peau trop foncée. En revanche, il était heureux que le vieux Tenshi ait pris le soin de reproduire la marque, le tatouage sur l'œil du robot mâle. Ils changèrent donc la peau, cela dura quelques heures.
    En sortant du sommeil, Horo vit qu'il avait en réalité gardé sa peau tannée. Qui lui allait mieux, selon les ricanements du vieux. Un ricanement qu'il avait bien mémorisé.
    En revanche, il n'avait plus son tatouage.
    Il en ressentit une des premières émotions dont il se rendit compte, enfin « émotion » techniquement parlant. La tristesse.

    ♠ ♠ ♠

    C'est assez triste en réalité. Un bébé, humain, ressent généralement en premier la curiosité et la soif de vivre.
    Les deux robots qu'étaient Risu et Horo étaient moins fournis en sentiments que ceux de la Mûgen. Après tout, leurs créateurs n'étaient qu'un dessinateur et un très bon mécanicien diplômé dans une filière qui débouchait toujours au travail chez Mûgen.
    Plus cela allait, plus il allait mal. Il perdait ses bavardages. Même la vieille s'inquiétait.
    En revanche, Risu allait mieux. Elle s'était créée une fixation sur la couleur orange. Sans doute était-ce parce que son capteur infrarouges était plus développé que celui de Horo. Il n'en savait rien.
    Ils étaient liés par une espèce de complicité qui se serait appelée amitié chez les humains. Mais comment l'appeler entre eux deux ? Des robots moins dotés que la moyenne, de plus ? Peut-être que dans une autre vie, en tant qu'hommes, ils auraient pu réellement être un couple et arrêter cette comédie.
    Mais non. Ils n'étaient que fer et matière synthétique.

    ♠ ♠ ♠

    Un jour éclata une violente dispute entre Risu et Horo. Le mari d'Arisa pensait que c'en était assez et qu'il fallait simplement envoyer sa femme dans un asile. Il en avait marre de ces deux trucs ambulants qui changeaient.
    Un jour donc Risu et Horo discutaient à propos de leur maîtresse.
    La concernée l'entendit.
    Mais ce n'étaient quelques mots qui allaient sortir une vieille femme de sa folie.
    Elle en fut juste perturbée.
    Elle aimait tellement son fils qu'il aurait pu l'insulter, elle n'aurait rien dit. S'il était allé en prison, elle serait venue lui apporter des mets délicieux chaque jour. Il aurait fait n'importe quoi, elle l'aurait soutenu.
    Mais entendre cette fille parler mal à son fils la mit dans un état de colère très fort.
    Elle entra dans la pièce, saisit Risu et sans réfléchir, saisit un vase et le cassa sur sa tête. Au moment où il répondait « Arrête, sois pas parano, au final c'est comme si on prenait un pique-nique au milieu des baies du mois de juin. »
    Sous les yeux de Horo, les yeux de Risu perdirent vie et elle tomba.
    Comme si c'était une humaine.

    ♠ ♠ ♠

    Après cet accident, Arisa fut envoyée en asile car elle avait cette sorte de réaction pour un rien. Sauf envers son « fils ».
    Horo demanda la liberté à son père créateur. Le lendemain de la demande, on retrouva Tenshi, ex-employé de Mûgen sans vie chez lui.
    On n'entendit plus jamais parler de Suromo Dani. Sans doute avait-il oublié toute cette histoire.
    Risu fut perdue aussi, du champ de vision de son pseudo-compagnon.
    Il n'en retint qu'une profonde blessure.
    Il jeta tous ses costumes, collets, cravates, chaussures à lacets. Il trouva d'autres habits, plus humbles. Un parka avec de la fourrure, un pantalon déchiré, et d'autres du même style.
    En souvenir à cette époque où les deux humanoïdes étaient encore « normaux » et qu'ils étaient dans une situation stable, chaque matin, Horo se dessine une marque sur son œil gauche. Recherché par Mûgen pour le mythe de son créateur, il fut placé dans une des salles ou beaucoup de robots sont entreposés. Il fut retrouvé en juin 2178, dans un laboratoire désaffecté. C'était une image assez comique pour les gardes qui l'ont découvert. Il lacérait une matière élastique orange avec un sourire inquiétant. Alors on l'éteignit.

    ♠ ♠ ♠

    Et maintenant ? Depuis peu, une femme l'a acheté. Une femme qui lui en demande trop et qui le déstabilisé. Une femme pourtant qu'il s'efforce de satisfaire car elle est humaine, et qu'elle est plus sensible que la vieille. Une femme élégante, touchante, malgré sa froideur. Une femme qui contraste tellement avec sa Risu. Et puis il a décidé de renommer en son for intérieur Risu, pour qu'elle ait une identité à elle et non qu'elle soit la pâle copie d'une défunte. Il la nomme aujourd'hui Berry.
    Mais l ne comprend toujours pas pourquoi elle l'a acheté. Aliéanor.
    On l'a un peu remis au goût du jour. On a amélioré ses membres et le fonctionnement de son circuit.
    Mais au fond il n'a pas changé.
    Sauf qu'il n'est plus Horo. Il ne s'est pas pardonné sa légèreté et sa désinvolture. Jamais il n'a été vraiment sérieux, à part ces scènes où il jouait un richard. Il n'aime pas les êtres vivants, quels qu'ils soient. Animaux ou humains. Ils le dégoûtent.
    Le mois de juin fut son mois le plus haï.
    Et donc il s'appela lui-même June.



      • { — A FREE YOUNG MAN (LIKE PINOCCHIO) *


    June (the fake one) FUCKS your mother. Mex2w


      Surname : June
      Class-conscious : moyenne. Cela dépend des butins.

      Me & Myself :

      June, dompteur connu de la tente riche en troubadours. Tout le monde connaît son intime complicité avec son tigre, son loup, ou même son chien. Il est si proche d'eux qu'il en est devenu quelqu'un de bestial. Il lance des grognements, parfois jappe, bref, utilise souvent un langage animal.
      Pour une fois il est réellement libre.
      Il profite de sa liberté. Il faut dire que les jeunes hommes sauvages et impétueux comme lui remportent un certain succès. Il en a pris une grosse tête et aime beaucoup la compagnie des filles après celle des animaux. Vivant dans la décadence, le décalage et le loufoque, il a une vie remplie d'aventures de toutes sortes. Et s'il jouit d'un public qui l'apprécie, il demande toujours plus. Il se sent au final comme ses animaux qu'il a recueillis un peu partout. Il a besoin d'une famille, une vraie. Et malheureusement il n'en a pas.
      Il s'est fait une fixation sur les filles plutôt blondes, timides, ou alors fonce dès qu'il en voit une habillée en orange. C'est une obsession presque monomaniaque.
      En fait c'est la première fois qu'il a un travail plutôt stable et honnête. Avant il se contentait de voler et de manger ainsi. Ce n'était pas plus mal en réalité. Il aime une vie remplie d'adrénaline et de dangers. Et puis quand il se rendit compte que les animaux l'appréciaient bien (car les chiens de garde finissaient toujours par s'aplatir devant lui, fous de joie) il décida d'en élever. D'ailleurs il n'a jamais su pourquoi ils les aimaient bien.
      L'excentrique aime à pousser des hurlements lupins à la pleine lune. Il aime aussi quand les filles font des bruits félins c'est siiiii excitant. Comme son travail est plus nocturne et qu'il passe ses nuits à s'éclater, le jour il est un grand fainéant qui dort sombrero sur le nez
      Il est aussi très irascible. Si vous OSEZ vous attaquer à lui ou avoir les mêmes proies que lui, hop, kicks et uppercuts en rafale.
      Et puis il a un fameux fouet. Il ne l'utilise pas sur ses animaux car il les aime trop. Mais il aime frimer avec et chercher une compagne masochiste (nooon je plaisante). Bref c'est un plaisantin qui ne se lasse jamais des farces et des jeux continuels. Et puis s'il a l'air malheureux parfois, c'est juste pour attirer votre attention, faites pas gaffe, c'est un abruti.






      • { — REALITY SHOW *

      June (the fake one) FUCKS your mother. Mex3

      Personnalité sur l’avatar : David des Jasdavid, de D. Gray-Man
      Pseudo(s) : … June c'est très bien.
      Âge : voir l'âge de Mei-Lin, non j'ai pas 21 ans.
      Sexe : ahahaha y a un doute.
      Où avez-vous connu le forum ? voir Mei encore.
      Avez-vous reçu un colis ? CODE BON BY YUTSUKI <3, yes, I remember this top secret code hehe 8D
      Quel parfum ? CODE BON BY YUTSUKI <3 puis je kiffe mon parfum à la pomme et à la rose.
      Quelque chose à ajouter ? bah euh June roxx je dois avouer /spaf


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Nehohi Okazaki [Lush]
•save me from myself

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Nehohi Okazaki [Lush]


Nombre de messages : 333
Date d'inscription : 20/07/2008
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Age : 29
Localisation : QG des Oubliés.
Emploi/loisirs : Oubliés.
Humeur : Pensive

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Nickname: Lush
Profession/Occupation: Muse de la Vanilla's Room.

June (the fake one) FUCKS your mother. Empty
MessageSujet: Re: June (the fake one) FUCKS your mother.   June (the fake one) FUCKS your mother. EmptyLun 21 Déc - 22:18

Validée ma poule.
Et.. j'aime, y a rien à dire, comme tu le sais si bien.
Rêve bien. et supporte bien Allie
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http://haaachi.livejournal.com
 
June (the fake one) FUCKS your mother.
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