Katsuo Masashi [Knight] { finito }

Invité

Fiche remaniée, revue et corrigée, cependant non exempt de fautes, malheureusement u.u
Je remetrais les informations complémentaires ainsi que les codes à la fin dans
un double poste, si personne n'y voit un quelconque inconvénient.

MAJ :
- Physique, part one (25/12)
- Psychologie, part one (25/12)
- Story, part one (04/01)
- Second me (04/01)

{ musique d'accompagnement : Signal to noise }

Dear Mister President, Who are you ?

$Katsuo Masashi [Knight] { finito } Th_dei11$

Nom : Masashi
Prénom : Katsuo
Surnoms : aucun, à sa connaissance tout du moins
Sexe : masculin, what else ?
Age : vingt-quatre ans, ceci dit, c'est une question bien indiscrète
Statut : employé dans une agence artistique
Classe Sociale : moyenne

Sublime One : Sweet Frozen Kiss

Quand vous entrez dans l'agence artistique Underground Rider [ne demandez pas d'où vient ce nom...] vous ne pouvez pas louper un large bureau ouvert à tous et aux murs de verres, comme si c'était une attraction dans un zoo. Votre regard se pose inéluctable sur cette pièce en désordre, avec des dossiers jonchant le sol et des dizaines de petites boîtes rectangulaires bariolées entassée pêle-mêle sur des livres d'art. Des tableaux hyper colorés, terminées ou non, sont accrochés aux murs ou posé là où il y avait de la place, quelques un sont posé sur un monticule plutôt conséquent de bandes dessinées. Des pinceaux, des allumettes et autres objets non identifiés s'entasse sur une planche posé sur des tréteaux qui servait vraisemblablement de bureau. En plus de tout cela, une bonne quinzaine de fissures s'étalaient sur le verre, donnant l'impression qu'il allait se casser à tout moment. Mais qui peut bien "vivre" dans un tel capharnaüm ? La réponse ne se fait pas attendre, puisqu'elle est juste sous vos yeux. Là, oui, là, sur le canapé vu de trois quarts devant le "bureau", les pieds sur un amoncellement de bandes dessinée nipponne, l'air extrêmement concentré, un ordinateur portable sur les genoux. C'est apparemment une femme qui a élu domicile dans tout ce bazar. Vous vous approchez de la vitre pour mieux la regarder, animé d'une curiosité soudaine devant cet excentrique bête de foire.

Elle n'a pas l'air très grande, un mètre soixante-cinq tout au plus. Ni très lourde non plus, si l'on se fit à son ventre plat, une soixantaine de kilos tout au plus. Ses cheveux sont longs, bien au delà de ses épaules, lises, attachés nonchalamment et à la va-vite en une sorte de chignon mal fait dont d'importante mèches s'en échappaient pour rejoindre ses omoplates. Une coloration ? Des crins doré mange son front, mais on aperçoit tout de même ses sourcils blond froncés dans une attitude de réflexion intense. Ses yeux bleus sont très clairs, si clair qu'on la croirait aveugle quand elle garde le regard fixe. Serais-ce des lentilles ? Excessivement grands, ils ont sans cesse l'air écarquillées, comme si ils cherchaient à capter le moindre mouvement du monde et qu'ils s'en étonnaient. Ses cils fournis et d'un noir acéré donnent une impression de disproportion qui colle bien à cette femme. Ses oreilles, que l'on devine aisément, sont cachées par ses cheveux mais l'on distingue tout de même le fait que s'y logent des écouteurs - raccrochés au baladeur posé à côté d'elle. Son nez un peu rond et légèrement retroussé n'a rien d'anormal, de même que sa bouche aux lèvres roses et charnues étirée en un rictus carnassier. Ses joues quelque peu rosies et rondes, synonymes de joie de vivre et d'appétit féroce, cadrent bien avec les contours fins de ce visage ovale au menton un peu pointus qui passerait presque inaperçus.

On imagine un cou effilé et mièvre, d'un gabarit moyen qui convient à la perfection, ainsi que des épaules droites et ronde et une poitrine désespérément plate sous un large T-shirt blanc. Hum, pas de poitrine ? Et oui ! Vous remarquez enfin que ce que vous avez devant vous est un homme ! Au physique plus que désirable, certes. Votre étonnement passé, vous haussez à nouveau les sourcils devant la petite main au doigts grêles qui relève un temps le bas de l'habit pour montrer aux yeux de tous la peau tendre et tendue de son ventre sans graisse superflue. Sur les jambes fuselée et d'apparence faibles tient en équilibre constant un petit bijou de technologie, taggé de toute part et personnalisé d'autocollant représentant principalement un jeux vidéo. Votre regard se pose, pour finir, sur les chaussures qu'arbore cette créature masculine à l'aspect féminin. De vieilles basket noires usées par le temps, la marque n'est plus visible, mais l'étoile blanche caractéristique ne vous fait pas douter un seul instant.

Stupéfaction, apogée de l'excitation curieuse qui vous as amenez à ne pas décoller vos yeux de la physionomie de cette personne inconnue, elle daigne lever son regard bleu vers vous. Lui aussi semble ahuri de vous voir. Il ouvre la bouche et dit d'une voix calme et teintée d'une once de colère - une voix somme toute très masculine que vous ne lui auriez pas attribué au premier regard. Ajouté à cela une moue de mécontentement.
- Quoi ? 'Voyez pas que je travaille ? Allez mater ailleurs !

Magical Two : Cold Metal Caress

Pour s'aventurer dans la rébarbative personalité de Katsuo, il faut trouver le locquet de la porte qui l'y mènne, caché dans les ténèbres. Nonobstant, il est facilement décellable au toucher.

Dans cette antre à l'odeur imprégnée d'alcool, de peinture et de suie, le décor est d'une excentricité à toute épreuves : des espaces immenses en baroque ancien, s'ouvrant sur une multitude de salles pas toujours bien éclairées. Les couleurs voyantes sont omniprésentes dans cet étrange intérieur, et ce qui est d'ordinire blanc et or est d'une couleur tout à fait différente, rouge ou violet, parfois bleu ou vert. Des tâches de couleurs présentes donne l'impréssion que l'on a violement jeté un pinceau contre les murs, ce qui n'est pas forcément tout à fait faux.

Partout, des couloirs bien éclairés et bien défini se succédaient, chacun conduisant à un souvenir et, par extension, à une réminiscence de l'esprit. Cependant, il restait une salles dans l'ombre. Aucunement liée à un évènement antérieur, simplement à l'instant présent. Les sentiments, le comportement profond de l'être humain qu'ést Katsuo. Ce n'était jamais quelque chose de bien réjouissant, juste une chose à constater et à subir, un trait de caractère immuable.

Quand on pénètre dans ce corridor, ce qui agresse immédiatement est l'odeur réccurente de peinture fraîche mêlée à ce qui semble être du bois brûlé, mais également le bruit sourd d'une explosion.
Là dedans, règne le chaos et la zizanie. Le noir de la colère et de la haine colore les murs, l'hypocrisie, le mépris et la prétention font couler des litres de bleu sur ces mêmes murs et l'impatience ses goutellettes vertes, tout autant que le rouge de la violence passionnée. La gentillesse, la générosité et la tolérance ne sont pas de mise dans ce couloir aux couleurs criardes et impitoyables. Cependant, la naïveté et l'impulsivité, qui lui ont déjà fait perdre plus que sa chemise, ne sont pas absentes, contrairement à ce qu'il s'imagine.

Psychotic Three : Dark Burned Smile

Les enfants, généralement, ça passe son temps à apprendre et réciter une tonne de choses qui ne leur sera pas forcément utile dans un futur proche, mais les enfants de riches, ça fait tout autre chose. Surtout le petit Katsuo. Et Maman veillait bien à ce que surtout sa petite progéniture d'amour reste mignone, et qu'elle dise amen à tout. Cependant, Papa ne l'entendait pas de cette oreille là. Que son fils reste tout seul dans son coin ? Ah ça non ! Qu'il vienne plutôt avec lui, histoire de le former à son futur emplois. C'est donc acculé entre deux tocqué qui revendiquaient l'exclussivité de la petite poupée qui dit oui, que Katsuo grandit. C'était ni très reluisant ni réjouissant.

<< MAMAN ! >>

Bambin Katsuo sépoumonait à hurler le seul nom qu'il connaissait. Et elle accourait, ses cheveux blonds et emmélés volant aux vents et tout son corps athlétique se dandinnant dans tous les sens, tel une sauveteuse de Alerte à Malibu sans les cocotier et en chemise de nuit. Elle s'agenouilla devant son fils, qui lui-même était assis sur le parquet de sa fabuleuse chambre, de la peinture dégoulinant des cheveux et des mains.
<< Oui mon bébé ? Tu as fait un cauchemard ? Tu n'arrive pas à te lever ? Tu n'as plus assez de couleurs ?
- J'en veux plus, commanda-t-il en détachant chaque syllabes. >>
A ce moment précis, le cerveau qui se cachait sous la caboche blonde de maman Masashi se mit réellement en marche. Elle se rendit enfin compte que l'éducation qu'elle lui avait fournis pendant deux années et demi n'était pas la meilleure du monde. Elle prit donc la bonne résolution de lui en donner une des plus stricte.
<< Non. Sais-tu quelle heure il est ? Et puis on ne dessine pas au milieu de la nuit ! Va au lit, vilain garçon ! >>
Cependant, le mal était fait, et l'enfant ne comprenait pas pourquoi on lui répondait soudainement par la négative. Sa mère le prit dans ses bras et l'emporta à la salle de bain pour le débarbouiller puis le recoucha dans son petit lit en bois d'acajou sculpté, bien gentiment et tranquillement.

| ~ |

<< Monsieur Masashi, un peu de tenue je vous prie ! >>
La tornade blonde posa son regard méprisant et hautain sur son précepteur.
<< Vous n'avez pas à me donner d'ordre, ce me semble.
- Ce n'est pas ce que madame votre honorable mère m'a dit. Et enlevez moi vos pieds de la table !
S'exclama le jeune professeur en tapotant les chaussures de son élève du doigt. Lequel n'en fit évidement rien, et avec le sourire s'il vous plaît.
<< Je ne vous le répèterais pas deux fois, dit le prof avec une once d'exaspération. >>
L'adolescent se leva, bien que plus petit que son aîné, il était certain qu'il le dominait moralement, et se planta devant la porte, qu'il ouvrit à la volée. Il y passa la tête, hurla le nom de sa mère, la referma et s'assit en tailleur sur son bureau avec un petit sourire satifsait.
<< Reprenez votre calepin, la porte est grande ouverte.
- Vous devriez apprendre à vous défendre seul.
- Pourquoi ? >>

| ~ |

<< J'en ais assez de tes frasques maintenant ! Tu t'es fait viré de l'école, tu te bats, tu te drogue peut-être même et tu fais exploser la maison jste après y avoir fichu le feu, tu est la honte de cette maison !
- Quoi ? Je ne me drogue pas !
- C'est tout ce que t'as à dire pour ta défense ? >>
Le jeune homme se tassa dans son fauteuil, se plogeant dans un mutisme stupide.
<< Tu n'est qu'un bon à rien ! T'es comme ton père, il n'y a que tes peinture et tes sculptures qui t'intérèsse !
- Mais c'est ta faute si je suis comme ça ! C'est ce qu'à dit cet imbécile de psy !
- Comme si tu en avais quelque chose à faire ! Je n'ai plus d'argent pour payer les réparation de tes bêtises, si tu veux quelque chose, travaille ! >>
Madame Masashi, de dépit, lança sa clarinette sur la tête de son fils. Des larmes de colère coulaient de ses yeux, cette même colère qui faisait trembler tout son être.
<< - Je te renie, fils ingrat.
- Quoi ? Tu peux pas faire ça ! J'ai que seize ans, je peux pas travailler !
- Et bien débrouille toi ! >>

| ~ |

Les mains sur les hanches, debout devant son vieux canapé déchiré par endroit, Katsuo embrassait son nouveau bureau du regard. Ah, il avait vraiment eu une bonne idée en ouvrant son << commerce artistique >>, comme il disait. Pas mécontent de lui, il porta le goulot de sa téquilla à sa bouche, se remémorant combien il avait dû en baver avant d'en arriver là. Ahlala, il avait même dû demander pardon à sa maman. Quelle épreuve ! M'enfin, à vingt-deux ans, il fallait bien qu'il commence à faire ses premiers pas dans la vie.
Cependant, il n'est pas dit que les clients vont affluer suite à une rencontre avec le jeune homme...

P

<3

P

F

B

Invité

Everybody's look at You, my Selfish Darling

$Katsuo Masashi [Knight] { finito } Image_10$

Nom : Masashi
Prénom : Katsuo
Surnoms : Knight
Statut : artiste de rues
Classe Sociale : sur la corde raide

Shining Four : Dark Burned Smile

Ce qu'il fait de ses nuit ? Contrairement à la plupart des autres personnes peuplant cette ville, il ne fait rien de spécial. Il ennuis juste les gens encore plus que d'habitude. Etrangement, dans ses rêves, il ne s'imagine pas être le roi du monde, mais rien de plus qu'un vulgaire artiste de rue.

<< Oh ! Regarde Maman, la madame aux cheveux bizarre elle fait des déssins ! >>
La petite fille lâcha la main de sa mère et se précipita sur << la dame aux cheveux bizarre >>. Cette dernière tourna la tête vers la gosse avec un rictus caustique. C'est de moi qu'elle parle celle-là ? se dit Katsuo avec toute sa mauvaise humeur habituelle. L'enfant montra une feuille du doigt.
<< Dis madame, c'est qui ça ?
- Déjà, je suis pas une femme. Ensuite, c'est personne, c'est abstrait.
- Ah bon, t'es pas une madame ? Mais t'es pas un garçon non plus, t'a les cheveux tout longs. T'es quoi alors ?
- Je suis un homme ! Et ça se voit ! s'exclama-t-il en triturant ses cheveux blonds.
- Ah... Et c'est quoi ton déssin ?
Katsuo prit la feuille en main, la regarda pendant une demi seconde et fit un énorme sourire à sa jeune cliente.Enfin quelqu'un qui comprenait son art ! Une personne très jeune, certes, mais néanmoins pas complètemet idiote, malgré les apparences.
- Tu vois ma petite, ça, c'est une explosion de sentiments ! L rouge symbolise le feu de la passion et de la colère. Ces deux émotions mêlées forment un cocktail explosif qui se traduit sur la toile par une gerbe colorée.
- C'est pas vrai ! T'a juste mis du rouge ! En vrai c'est juste des traits ! Et puis c'est moche, en plus ! >>
Médusé, il ne sut pas quoi répondre. Puis, le regard et les paroles firent leur effet, et les émotions déferlèrent dans son être. Elle se décolèrent du papier pour s'imprégner à l'intérieur de lui, par chaque pore de sa peau. L'animosté de départ se mua en colère, qui elle même se transforma en haine profonde en un temps record. Mais le véritable record fut qu'il était de bonne humeur avec quelqu'un pendant deux minutes. Il lâcha sa toile et prit la petite fille par les épaules. Ses doigts se refermèrent sur la chair tendre de l'enfant comme des serres, et ses yeux la transperçaient littéralement.
<< Tu oses dénigrer mon art, petite peste ? Sache que rien dans ta petite vie minable n'est comparable à tant de beauté !
- Mais vous êtes folle ? Lâchez-là, espèce de dégénérée !>>
Une main se posa sur son poignet, l'encerclant de sespetits doigts boudinnés. Le geste fut vif, Katsuo frappa la mère.
<< C'pas à vous que j'parle, dégagez viille peau ! >>
La femme tomba sous le choc, les passants s'arrêtaient, choqués par tant de violence, certains appelaient même lapolice. Mais il n'en avait cure, il ne voyait que le regard térrifié de sa petite victime, de cette sale gosse qui avait déblatérée tant de conneries. Il la secoua brutalement, commel'on secoue un prunier, lui hurlant et crachant des obscénités que je ne saurais vous retranscrire pour ne pas être censurée. Ca ne tarda pas, deux bras puissants le forcèrent à laisse tomber cette gamine prétentieuse et l'embarquèrent - non sans une résistance farouche autant physique que verbale.

Dans ses rêves, Katsuo imagine le pire. Peut-être car il est incapable du meilleur... ?

Who is The Third ?

Personnalités sur l’avatar : sieur Deidara from Naruto shippuden
Prénom : Morgane (comme la fée \o/ )
Pseudos : Cookie x3
Â[/color]ge : 16 balais, bientôt 17.
Sexe : Je me dit parfois que j'aurais préféré être une fille. [p.s : d'après ma morphologie actuelle, qui n'est pas prête de changer, j'en suis une]
Comment trouvez-vous le contexte ?Franchement bien pensé.
Et le design ? très joli. J'aimais bien le précédent, dependant celui-ci est nettement mieux.
Où avez-vous connu le forum ? Grâce à un pseudo msn.
Avez-vous reçu un colis ? Certainement, au fait, le lien vers les règles qui se trouve sur la page d'acceuil est érroné. Remember the sweet memories.
Quel parfum ? Possesion de Eau jeune. Pardon ? Ce n'est point la bonne réponse ? Ah... Ce doit être sucré léger alors, tout du moins si mes souvenirs se révèlent exacts.