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 Charles McEwen [Carmine Winter]

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Charles McEwen [Carmine Winter] Empty
MessageSujet: Charles McEwen [Carmine Winter]   Charles McEwen [Carmine Winter] EmptySam 27 Juin - 2:43

WHO AM I  ?


    • { FIRST ME *


Charles McEwen [Carmine Winter] 4u8ga1
« Comme l'enfant solitaire qui se met en plusieurs, deux, trois, pour être ensemble et parler ensemble dans la nuit. »


    Nom : McEwen
    Prénom : Charles (prononcer à l'anglaise s'il vous plaît)
    Surnoms : Je vous demande pardon ?
    Sexe : Masculin
    Age : 23 ans
    Statut : Autres travailleurs (Majordome)
    Groupe : Classical people
    Classe Sociale : Moyenne tendance riche

    Questionnaire.


    • L'amour ? « D'après les actes de Sir Peter, je préfère ne pas m'y mêler. »
    • L'amitié ? « Elle doit être exclusive et sacrificielle. »
    • La confiance ? « Seul Sir Peter possède la mienne. »
    • La musique ? « J'aime particulièrement m'adonner au plaisir du violon lors de mon temps libre. »
    • Le surnaturel ? « Je vous demande pardon ? »
    • La chirurgie esthétique ? « Je n'en ai pas besoin, voyons. »
    • L'actualité ? « Je vis l'actualité de Sir Peter, et cela me suffit et me ravit, croyez-le bien. »
    • Les Oubliés ? « Non, je n'ai rien oublié voyons, quelle question ! »
    • La Gommose ? « Est-ce une grave maladie ? Sir Peter peut-il être exposé à ses germes ? »
    • Chanson favorite ? « Un Lied, à la limite, je ne dirais rien, mais une chanson ! C'est d'un vulgaire... »
    • Personne admirée ? « Sir Peter. »
    • Mûgen Corporation ? « Je vous avoue mon ignorance, mais vous pourriez peut-être m'éclairer.. Qu'est-ce ? »
    • La Politique du gouvernement ? « Je ne m'y intéresse pas, tout ceci est du ressort de Sir Peter. »
    • La théorie des deux mondes ? « Quelle théorie ? »
    • Un mot a quelqu'un en particulier ? « Sir Peter, désirez-vous du thé Darjeeling ou Earl Grey ? »
    • Les médias ? « Ils sont loin d'être un de mes intérêts principaux. »
    • Vin ou bière ? « Il m'est plus agréable de m'abstenir d'alcool, mais si c'est le désir de Monsieur, je boirai tout ce qu'il voudra. »
    • Lieu favori ? « Je suis au septième ciel si j'ai Sir Peter dans mon champ de vision. »


    Song of Dream :
    J'entrai dans la chambre de Sir Peter. Il devait être près de 7h30 du matin et Monsieur ne tarderait plus à se réveiller, il était extrêmement matinal. Je n'accordai pas même un regard à la forme étendue auprès de mon maître tandis que j'ouvrais les lourds et beaux rideaux de sa luxueuse chambre. Il était habituel qu'il ramène un inconnu, si possible désespéré, car il une de ses distractions favorites était d'embarrasser et de déprimer des éphèbes déjà au seuil du suicide. Ce qui me convenait tout à fait, car s'il s'était découvert un favori – ou une favorite – je dois confesser que j'aurais ressenti la plus vive jalousie. Je m'avançai alors vers le lit. Sir Peter se redressait à l'instant et me jeta ce même regard auquel j'étais habitué, et qui ne voulait rien dire pour quelqu'un d'autre que moi. Le regard du dédain affectueux, voilà ce qu'il m'offrait et qui me comblait.

    « Monsieur prendra-t-il sa collation matinale au lit ou à table ? » demandai-je, légèrement courbé en avant, dans un salut formel.

    « À table. » fut la réponse laconique de Sir Peter, qui me fit par la même occasion signe de réveiller l'individu couché à ses côtés. Je contournai le lit et m'approchai du jeune homme profondément endormi. Connaissant les horaires déments de mon maître, ils devaient s'être abandonnés aux bras de Morphée aux alentours de 2h ou 2h30. Pour Sir Peter, comme pour moi, 5 heures de sommeil satisfaisaient amplement les aspirations de notre corps. Mais pour le chétif jouvenceau qui se reposait dans le luxueux lit de mon Maître, 5 heures ne suffisaient sûrement pas. Mais, adepte d'une torture en finesse et psychologique, Monsieur était en faveur de la diminution du sommeil de ses protégés, afin de mieux pouvoir s'en distraire. Je frôlai de mon gant blanc le bras de l'adolescent en proie au sommeil, puis me penchai encore pour lui murmurer à l'oreille :

    « Désirez-vous un café ou un thé, monsieur ? »

    Peut-être que je le pinçai par inadvertance, mais il s'éveilla soudain, hagard et surpris.

    « Quoi ? Que ... ? »

    Et il me vit. Pour Sir Peter comme pour moi, c'était un divertissement toujours renouvelé que de pouvoir observer la réaction de ses victimes. Car, mon allure est, il faut l'avouer, marginale pour notre époque. Le damoiseau, encore à peine lucide, semblait se croire encore dans un rêve, et, je savais déjà que sa prochaine analyse me placerait au rang d'androïde. Il me faut concéder qu'un androïde à mon image aurait un grand succès, surtout auprès de la progéniture des plus riches de notre planète, mais je ne suis qu'un humble humain, descendant d'un longue lignée de majordomes de la famille Hawkins, celle de Sir Peter. Ainsi, de père en fils et de mère en fille, les McEwen servent les Hawkins. Je me trouve comblé dans ce rôle, car Monsieur m'est aussi précieux que ma vie, et plus précieux encore que ma collection de gants (j'en possède plusieurs centaines) ou que Tisiphone ou n'importe quel autre chat.

    « Il vous a été demandé si vous préfériez une tasse de thé ou de café. » consentis-je à répéter au jeune homme.

    Toujours perplexe, il m'observa de la tête aux pieds, tentant sans doute de se remémorer les évènements de la veille. Apparemment, il n'arrivait pas à se souvenir. Il abandonna donc cette idée pour me détailler des pieds à la tête. J'en profitai pour me redresser, afin de l'anéantir encore un peu, car je ne mesure pas moins d'1m80. Il ne put que constater que je le dominais par la taille, et s'attarda sur ma tenue de majordome, une tenue très classique pour un domestique, je vous l'assure, mais qui dans le monde du jean taille basse et du T-shirt déchiré a tendance à choquer quelque peu. Son regard s'attarda quelques instants sur mes gants, qui étaient ce matin de daim blanc, très ajustés et toujours aussi élégants. Il dut pencher la tête en arrière pour pouvoir voir mon visage. Je portais aux lèvres, comme à mon habitude, un léger sourire qui semble froid ou inexpressif mais qui recèle une once de moquerie qui a le don de mettre mes interlocuteurs mal à l'aise. Sauf Sir Peter évidemment, qui pare ce sourire par son affectueux dédain. Mon sourire eut sur lui l'effet escompté et il se recroquevilla avant de finir son inspection, passant rapidement sur mon fin nez pour achever sur mes yeux. Mes iris ont leur particularité aussi : noisette au départ, elles sont striées de légères lignes vermeilles qui me confèrent un regard carmin et peut-être démoniaque.

    Se rendant tout à coup compte qu'il me fixait, ce qui n'était pas poli, il posa son regard autre part, ce qui lui permit de se rendre compte qu'il était nu comme un ver. Il saisit la couverture et s'en recouvrit, son teint mat rosissant légèrement. Aurais-je été d'une gentillesse exemplaire, je l'aurais sans doute rassuré : la vision d'androgynes dénudés m'est habituelle et ne m'intéresse point, du fait de ma frigidité, que Sir Peter semble sans cesse déplorer.

    Après avoir appris de l'invité qu'il désirait un café, je m'absentai quelques instants pour préparer la table du petit-déjeuner où ils prirent ensuite place. Dans un silence profond – Monsieur semblait d'humeur exécrable et son protégé était assez perturbé – je les servis, amusé par ce silence. Mais rien ne trahissait cet amusement, car mon air impassible et mon esquisse de sourire semblaient identiques à tout instant et à toute personne. Cependant, Sir Peter me connaît bien, et au bout de quelques instants il me jeta, d'une voix énervée :


    « Charles, veux-tu bien arrêter de te moquer ainsi de moi ! »

    Être percé à jour si facilement par Monsieur ne me dérangeait pas, d'autant plus que cela accentua la perplexité de son amant d'une nuit, qui sembla décider dans le secret de son coeur qu'il était tombé dans une maison de fous. Je lançai un regard amusé à Sir Peter, c'est-à-dire un regard impassible, doublé de mon pénible sourire, et desservis la table. Sans m'en rendre compte, je me plongeai dans mes souvenirs...

    ***


    « Sir Peter, Sir Peter ! »

    Un observateur externe aurait cru voir une petite fille en larmes courir vers un garçonnet d'au moins 4 ans son cadet.

    « Sir Peter... mes soeurs, elles, elles m'ont habillé en fiiille... ouiiin... »

    Et cet observateur aurait été ébahi de voir que l'enfançon consolait gentiment son aîné de la crasse qui lui avait été faite.

    Oui, la petite fille, c'était moi. Et mes soeurs aînées, âgées respectivement de 4 et 7 ans de plus que moi, étaient coutumières de ce genre de distraction impliquant une victime plus jeune qui se trouvait toujours être moi. À l'époque, Sir Peter, âgé de 4 ans, était l'être qui me servait de consolateur. C'était un ange, dans tous les sens du terme : tout le monde le complimentait, car il était mignon, sage et très intelligent pour son âge. Et puis il était d'une gentillesse sans pareille, et il me consolait toujours. Quelque part, j'avais honte, moi, qui serais son majordome dans quelques années, de me faire consoler par mon futur maître, mais il ne semblait pas m'en prendre rancune, et même y prendre plaisir, si bien que malgré mes remords, dès que je souffrais d'une vexation de mes soeurs, j'allais chercher réconfort auprès de lui.

    Mais tout changea un jour, ou plus exactement, le jour où Sir Peter prit sa première leçon d'équitation. Sa monture était un jeune cheval de deux ans, doux et aimant, que j'adorais et à qui je rendais visite tous les jours. Un de mes plus grands rêves était de pouvoir, un jour, avoir l'immense privilège de l'avoir comme monture. Mais le destin, sous les traits de Sir Peter, lui avait réservé un autre futur. En effet, mon futur maître avait les animaux en horreur, et l'équitation ne semblait pas être une de ses activités préférées, mais il s'y plia puisque tel était le désir de ses parents. L'animal, si doux en temps normal, ressentit la haine sourde de son cavalier et eut le malheur d'expédier l'enfant au sol. Horrifié, je me précipitai vers le jeune maître. Il me repoussa. Le lendemain, le cheval fut abattu sous prétexte qu'il souffrait de la rage. Je restai inconsolable pendant quelques jours.

    À partir de ce jour, Sir Peter, l'angelot, changea, mais je fus le seul à m'en rendre compte et à en subir les conséquences. Mais comme je l'adorais, le vénérais et ne pouvais rien lui refuser. Il me demandait régulièrement d'aller quérir ceci ou cela, à l'insu de ses parents, et je me pris d'une haine sans pareille pour les parents de Sir Peter, qui, par respect pour mes parents et de ma lignée, ne me renvoyèrent pas, mais me convoquaient régulièrement pour me dire combien ils étaient déçus par mon comportement, d'un ton de dédain si fort que mon antipathie envers eux se mua en une haine puissante. Et pourtant c'était bien moi qui commettait ces petits délits qui me valaient ces remontrances, mais si je les commettais c'était pour le bon plaisir de Sir Peter que je ne pouvais pas juger coupable. Cela m'était impossible.

    ***


    Je séchai la vaisselle que j'avais entrepris de laver, puis rejoignis Sir Peter. Quand j'entrai il s'était déjà vêtu. Je lui tendis la mallette qu'il utilisait pour les cours qu'il suivait, bien que je juge qu'il n'avait pas besoin de suivre des cours, il était déjà trop intelligent pour le commun des mortels, s'il s'élevait au rang de dieu, je ne pourrais décidément pas le suivre. Je repensai à la raison de notre arrivée ici...

    **


    En grandissant, Monsieur n'avait pas amélioré son comportement, et pourtant je le suivais sans rechigner, tant je l'adulais. Il entendit un jour parler de cette université, et un seul mot avec ses parents lui suffit pour venir ici. Je le suivis, bien évidemment. C'est lors d'une de ses idées délirantes que nous découvrîmes ma firigidité.

    Il avait décidé de m'emmener en boîte de nuit, territoire à l'intérieur duquel je ne le suivais jamais. Je préférais rester à l'extérieur, et payer un gros pourboire au videur de la seconde sortie, s'il y en avait une, pour qu'il me prévienne si Monsieur sortait. Mais ce seoir-là, il m'y traîna de force.

    En qualité de majordome-garde du corps de Sir Peter, j'étais en possession d'un revolver, mais j'avais aussi réussir à entrer en possession d'un Teaser, afin de ne pas blesser une personne qui m'aurait seulement inquiété par sa proximité avec Monsieur.

    Nous entrâmes donc dans le club huppé, où il régnait une chaleur dûe à la quantité et à la proximité de tous ces corps humains à demi-nus. J'étais pour ma part toujours habillé de mon costume de majordome et d'une nouvelle paire de gants en soie noire. Je dois l'avouer, j'étais assez nerveux, abhorrant le contact humain, et ma main droite était crispée sur le manche de mon Teaser. En un instant, Sir Peter disparut de mon champ de vision. Je le retrouvai rapidement du regard. Il était monté à l'étage, converser avec quelques amis. Je décidai de le laisser tranquille et m'appuyai contre un mur. C'est alors qu'un quidam à l'allure assez éméchée s'approcha de moi et eut le malheur de vouloir me toucher. Sans réfléchir, je sortis mon Teaser et lui assénai une petite décharge électrique qui le mit au tapis. Je choisis de me dissimuler dans un recoin du mur, mais j'y croisai une jeune fille esseulée qui semblait fumer autre chose que du tabac. Je déduis de son sourire extatique qu'elle était loin de nous, et quand elle perdit l'équilibre et tomba dans mes bras, je l'évitai et la réceptionnai avec une décharge. C'est ainsi qu'en cherchant la sortie j'électrocutai nombre de nymphomanes, d'alcooliques et de drogués, tétanisé à l'idée qu'on me touche, dans un état second. À partir de cette nuit-là, Sir Peter ne me fit plus jamais rentrer dans un club.

    ***


    Je laissai Sir Peter et sa victime de la journée dans la chambre de Monsieur puis allai nourrir Tisiphone, un magnifique chat de sexe féminin que j'avais recueilli. J'adorais les chats de la même manière que Sir Peter, à un degré moindre. Comme à mon habitude, je tendis la main vers la fourrure du félin, et hésitai à le caresser, de peur qu'il ne me griffe. Je restai donc ainsi une main à quelques centimètres de l'animal, crispé, rêvant de pouvoir un jour réellement le toucher, et craignant à la fois une réaction agressive de l'animal.


Dernière édition par Charles McEwen [Carmine] le Dim 5 Juil - 19:54, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Charles McEwen [Carmine Winter]   Charles McEwen [Carmine Winter] EmptyDim 5 Juil - 19:53

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    • { SECOND ME *


Charles McEwen [Carmine Winter] 6h5hxt


    Nom : Winter
    Prénom : Carmine
    Surnoms : Mine (prononcé à l'anglaise)
    Statut : Propriétaire d'une maison close
    Classe Sociale : Riche

    Me & Myself :
    Carmine est physiquement Charles, avec une unique et importante différence : il n'est pas frigide dans le monde des rêves. C'est pourquoi, avec un caractère qui correspond, il s'est retrouvé propriétaire d'une maison close. Curieusement, ce proxénète se sent très proche d'un de ses hétaïres les plus sollicités, qui se trouve tout simplement être le Sir Peter onirique. Carmine se vêt comme un gentleman de l'époque victorienne anglaise, et se comporte de la même manière, avec cependant une légère larme libertine à la Valmont ou à la Dom Juan. Son sourire est une marque distinctive, et il l'a toujours vissé au visage. Cependant, contrairement au pénible sourire de Charles, le petit sourire de Carmine connaît de nombreuses variations et le rend plus expressif que le froid Charles. Il a cependant tendance à taper sur les nerfs de ses interlocuteurs et adore se moquer de ses employés. Mais il n'est ni vénal ni avare, et paye bien ses employés. Par ailleurs, il adore se promener la nuit, et a tendance à roupiller entre 10 et 15/16h, étant, tout comme Charles, un petit dormeur. Il est bien plus joyeux que Charles, mais c'est sans doute dû à la consommation d'hormones du plaisir bien plus développée que dans le monde réel. Il apprécie toujours autant les gants et les chats, d'autant plus qu'ici il les caresse sans problème et sans peur. Il est toujours d'une politesse exquise et use du sarcasme et de l'ironie encore plus que dans le monde réel. Il adore le challenge et parie sur tout et n'importe quoi, sans pour autant y jeter des sommes inconsidérées. Il tient beaucoup à sa maison close et est très attaché à tous ses employé(e)s, qui semblent bien le lui rendre.
    S'il est devenu propriétaire d'une maison close dans Neville, c'est que Sir Peter n'existait pas en tant que maître dans ce monde. Non, Sir Peter, ou plutôt Angel, est ici né dans une très modeste famille et s'est très jeune livré à la prostitution. Carmine, qui dans cette vie de non-frigidité et de non-descendance d'une lignée de majordomes avait trouvé que le métier de proxénète lui convenait, a un jour recueilli l'adolescent, et très rapidement en a fait un hétaïre, que les plus riches s'arrachent à prix d'or. Je ne vous cache pas que maître et employé ont une relation ambiguë, et je dois vous avouer que quand Charles se réveille, il a en tête des images très ... dérangeantes.



#

    * REALITY SHOW *

    Personnalité sur l’avatar : Sebastien de Kuroshitsuji
    Prénom : Emma
    Pseudos : Anciennement Dina, Lady Eris
    Âge : 16 ans
    Sexe : Féminin
    Comment trouvez-vous le contexte ? Intéressant !
    Et le design ? Sympathique, un peu clair peut-être (mais j'ai les yeux sensibles ^^).
    Où avez-vous connu le forum ? Par ma dulcinée <3
    Avez-vous reçu un colis ?
    Spoiler:
    Quel parfum ?
    Spoiler:
    RP ? 
    Spoiler:
    Quelque chose à ajouter ? Nope <3


J'ai remis les codes ^^'
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